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Au pays des 50000 «dos-d'âne»!

Encore un autre record que détient l'Algérie, celui des ralentisseurs communément appelés «dos-d'ânes». Selon l'ancien ministre des Travaux publics, Farouk Chiali, il en existe pas moins de 50000 dans notre pays. Comme si les affres de la bureaucratie n'ont pas suffi pour rendre infernal le quotidien, on rajoute une couche avec ces ralentisseurs. À chaque agglomération, chaque quartier et chaque coin de rue, on installe ces tas de goudron sans normes et sans avertissement aucun. Il ne s'agit ni de réguler la circulation ni de prévenir d'un danger, mais un signe probant d'une anarchie totale et de l'absence de l'Etat. Car ces ralentisseurs causent des dépits énormes et provoquent de la congestion jusqu'à ce que l'endroit devienne encombré, non pas parce que la voie n'est pas fluide, mais parce que certaines personnes qui habitent la rue, la cité ou le quartier pensent que la voie leur appartient, c'est leur bien à eux. Or, un ralentisseur n'est réalisé qu'après une étude des normes au niveau des services de la direction des travaux publics de la wilaya, en tenant compte de tous les aspects techniques obéissant à des critères de sécurité, selon les standards internationaux.

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