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La subversion et ses objectifs en Algérie

Diversion. Tout le monde aura remarqué que la contestation, tous supports confondus, ne porte plus sur la gestion, dans notre pays, de la crise sanitaire mondiale. Elle ne porte plus car au début elle portait sur le dépistage «insuffisant», sur le système de santé «défaillant», sur les unités de soins intensifs «dérisoires», sur les respirateurs «inexistants», etc. Que s'est-il passé depuis pour que la contestation en Algérie ne «s'alimente» plus du coronavirus? Pour le comprendre, il faut remonter quelques mois auparavant. Il faut se rappeler que le Hirak avait démarré sur le refus d'un «5ème mandat». Une fois la démission de l'ancien président de la République, grâce à l'appui de l'ANP des revendications populaires, il était dans l'ordre des choses d'organiser l'élection d'un nouveau président de la République. C'est là où la subversion a voulu détourner la volonté populaire en infiltrant le mouvement et bloquant toute idée de scrutin pour l'élection d'un nouveau président algérien. Deux dates ont dû être annulées. La troisième, celle du 12 décembre 2019, a finalement abouti à l'élection du président Tebboune. Cet objectif de pousser l'Algérie, qui était un «corps sans tête», vers le désordre et le chaos, ayant échoué, la subversion s'est mise en tête de passer à un autre objectif tout aussi cruel pour le peuple algérien. Celui d'utiliser les marches populaires comme moyen de provocation des forces de sécurité et les pousser à commettre la faute qui serait l'étincelle de l'incendie. Ce scénario non plus, n'a pas réussi grâce au professionnalisme des policiers chargés d'encadrer les marches. Et vint le virus. Le coronavirus. Le Covid-19. Alors lui, il a tout chamboulé. Il a remis en cause tous les objectifs de la subversion. Plus de manif's. Plus de provoc'. Tout le monde à la maison et couvre-feu planétaire. Une fois l'effet de surprise passé, la subversion était sûre qu'en misant sur la gestion du virus, elle allait trouver le moyen de mettre en difficulté l'Exécutif. Hélas, trois hélas, la crise sanitaire a été magistralement gérée par le président de la République et le gouvernement. Que reste-t-il à la subversion? Les réseaux sociaux, quelques néo-harkis et leurs journaux en ligne, pour tenter de barrer la route à la construction de l'Algérie nouvelle. Ils se sont avérés plus «potins de la commère» que journalistes. Il suffit de voir le contenu de leurs supports pour se rendre compte que les néo-harkis sont réduits à faire les poubelles pour en tirer des infos débiles. à tel point où ils finirent par perdre toute crédibilité aux yeux de l'opinion algérienne et même internationale. Les maîtres, leurs donneurs d'ordres ont fini par écarter les supplétifs pour leur médiocrité et monter, eux-mêmes, en première ligne quitte à se démasquer. C'est ainsi que se sont alignés les «célébrités» anti-algériennes comme José Garçon, Nicolas Beau, Pascal Boniface, Nathalie Prévost, etc. pour prendre la relève et déverser toute leur haine contre notre pays. En décernant des bons et des mauvais points à des dirigeants pour leur gestion du virus. Ils ne sont pas seuls puisqu'ils sont rejoints par «le canard enchaîné» qui semble plongé dans une confusion mentale telle qu'il ne peut plus distinguer droits de l'homme et monarchie. Même l'armée française, qui traîne toujours le vieux virus dreyfusard, est mise à contribution pour produire... des caricatures pour alimenter la division chère à Bugeaud. C'est fou comme ces milieux nostalgiques restent figés à la «belle époque» de l'Algérie de papa. Ils ne se rendent pas compte du temps qui passe ni du progrès réalisé par une population, hier, analphabète, mais qui est aujourd'hui aux avant-postes de la science et de la création à l'échelle mondiale. Dans leur aveuglement, ils ne peuvent pas voir que les Algériens ne sont plus en haillons, qu'ils n'ont plus faim et surtout qu'ils sont souvent plus instruits que leurs bourreaux d'hier. Ils ne voient tellement plus, qu'ils persistent à croire, qu'ils peuvent encore berner l'Algérien. En faisant dans la diversion à «grosses ficelles» et croire pouvoir ainsi masquer leur véritable objectif. Car et pendant qu'ils s'évertuent à alimenter la polémique sur des sujets anodins et dépassés, le feu couve toujours aux frontières du pays. Tandis que dans les pays du Sahel, le terrorisme s'implante de plus en plus. En Libye aussi, la situation empire chaque jour. L'objectif final de ces agents de la subversion est de cacher autant que faire se peut ces foyers de tension au peuple algérien. Le temps que la situation pourrisse vraiment et atteigne le point de non-retour. Car au final et si par malheur les plans de BHL et de son organisation terroriste se déroulent comme ils ont été élaborés, c'est-à-dire faire du Sahel une zone de non-droit et démembrer la Libye, c'est, pour ces agresseurs, rendre plus facile la véritable cible qui est l'Algérie. Qui a toujours été l'Algérie! C'est ce que tous les Algériens savent ou doivent savoir!

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