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Le référendum et les restes de la «Issaba»

Symptômes. Si les gros requins de la «Issaba» sont tombés, la meute qui les suivait est complètement désorientée. Un jour elle met le feu aux forêts, le lendemain elle «pompe» les liquidités de la poste, le surlendemain elle bloque le dessalement de l'eau de mer, ensuite c'est la distribution de l'eau potable qui reçoit sa «visite». Elle vient de jeter son dévolu sur le débit de l'Internet. Personne ne sera étonné de savoir que tout ceci était prévisible. De gros intérêts ont été dérangés. Par la chute drastique des importations. Autour de cette partie du commerce extérieur, beaucoup de fortunes se sont constituées. Ici et à l'étranger, grâce, notamment à la surfacturation. C'est toute une communauté qui vivait de cette rente. Avec ses «barons» et leurs cohortes de petites mains. Les premiers sont pour la plupart en prison. Les seconds sont dans la nature, ne sachant que faire devant l'arrêt brutal de la «vache à lait». Alors ils attendent un signal, un ordre pour réagir et se mettre en mouvement. C'est ce qui s'est visiblement passé. La simultanéité des actions, tous azimuts qui vont de la forêt à la poste en passant par la distribution d'eau, est révélatrice d'une panique et des derniers soubresauts de la bête blessée. Après avoir misé sur les réseaux sociaux et leurs fake news qui se sont avérés n'avoir aucune prise sur l'opinion nationale qui en avait vu d'autres bien avant. Après avoir misé sur les lettres anonymes pour déstabiliser les institutions de l'Etat et qui ont fini broyées avant d'être jetées à la poubelle. Après avoir misé sur la chute du prix du pétrole qui devait mettre en difficulté l'Exécutif sans que cela n'ait été le cas. Après avoir misé sur la gestion de l'épidémie du coronavirus qui devait saturer les hôpitaux et entraîner le désordre alors que c'est une maîtrise remarquable qui a été constatée. Après tous ces échecs, l'espoir de remettre le pied à l'étrier est définitivement perdu tant chez les «barons» que chez leurs petites mains. Ce qui explique la multiplication des «points noirs» créés. Ce sont toutes les dernières cartouches qui sont utilisées à la fois. Histoire de perturber autant que faire se peut la vie quotidienne des citoyens. Comme ça! Pour le plaisir de faire du mal. Car les carottes sont bel et bien, cuites pour la «Issaba» et ses adeptes. La panique se lit aisément chez ceux qui sont derrière ces actes de «la dernière chance». L'Algérie nouvelle avance à grands pas et écrase, tel un rouleau compresseur, tous les obstacles qui apparaissent devant elle. Les saboteurs d'Algérie poste seront identifiés avant d'être présentés à la justice. Ceux des ressources en eau aussi. Tout autant que ceux d'Algérie télécom. Ils n'auront réussi qu'à polluer l'environnement d'une population qui était tenue au courant en temps réel des agissements de la bande. C'est dire que les Algériens sont tous unis derrière ceux qui construisent, pas derrière ceux qui détruisent. La dernière décision du président Tebboune qui a fixé la date du 1er Novembre prochain pour la tenue du référendum sur la Constitution a, dans un premier temps, surpris plus d'un. Mais très vite tout le monde a compris la symbolique du choix et sa portée sur l'avenir de la nation. C'est d'une toute autre dimension que les étroits calculs de quelques pique-assiettes qui vont dans tous les sens sans leurs maîtres qui sont sous les verrous. Une toute autre dimension d'où seront bannies à jamais la corruption et la hogra. Avec la nouvelle Constitution une fois adoptée. Avec la loi sur les formations politiques. Avec la loi électorale. Avec l'émergence d'une société civile qui investira tous les créneaux d'activités possibles et imaginables. Avec la transparence d'un Parlement qui ne sera plus celui des privilèges, mais réellement une charge pour ceux et celles qui veulent servir leurs compatriotes. Une Algérie sans corruption. Sans bureaucratie. Sans clientélisme. Une Algérie telle que l'ont rêvée nos chouhada et nos moudjahidine. Une Algérie qui respire le bonheur et la prospérité. Elle est là à notre portée. C'est l'Algérie nouvelle. Celle qu'a promis le candidat Abdelmadjid Tebboune comme il l'a inscrit dans le préambule de ses 54 engagements: «Je m'engage par-devant Dieu et par-devant le peuple à tout entreprendre, si je suis élu à la magistrature suprême, pour réaliser les attentes et les aspirations légitimes portées par le Hirak du 22 février pour un changement global et véritable à même de permettre à notre pays de se redresser et de prendre un nouveau départ et à notre peuple de vivre dans une Algérie démocratique et prospère, fidèle aux valeurs de la révolution du 1er Novembre 1954 et où tous les Algériens auront leur place» (fin de citation). Aujourd'hui, Tebboune est en train de réaliser ce qu'il a promis!

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