LE ROMAN AM EL HABL DE MUSTAPHA NETTOUR
Une empreinte singulière dans le récit algérien
Le roman Am El Habl du défunt écrivain Mustapha Netour constitue une empreinte singulière dans le récit algérien, a estimé, jeudi à Constantine, l'écrivain et journaliste Salim Boufendassa. Lors d'une rencontre tenue à la bibliothèque principale de lecture, en hommage à ce défunt homme de lettres (1950-2011), à l'occasion du 7ème anniversaire de sa mort, Boufendassa a estimé que le romancier a rapporté dans cette oeuvre sa perception de l'identité algérienne à travers une poésie farouche décrivant l'histoire de la ville du Vieux Rocher sous le règne des Ottomans. Comparable à une recherche anthropologique sur la nature de la tyrannie, le roman transformé en oeuvre théâtrale par le théâtre régional de Skikda, présente une vue panoramique sur Constantine, sa création, ses tribus et son territoire, a ajouté l'intervenant regrettant le peu d'études consacrées à Mustapha Nettour. Pour sa part, la poétesse Nadjah Hadda, sa veuve, a révélé que le défunt écrivait dans un langage simple et proche du coeur des Algériens.


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