{{ temperature }}° C / {{ description }}

Cité introuvable.

16e édition de Dimajazz

Inoubliable soirée de clôture avec le Wonder Collective

Le Wonder Collective - Tribute to Stevie Wonder (WOCO) a brillamment clôturé la 16e édition du Festival international de jazz de Constantine, faisant le bonheur des centaines de festivaliers venus, samedi soir au Théâtre régional Mohamed-Tahar Fergani, redécouvrir le répertoire du génialissime Stevie Wonder. Se voulant résolument festive, la soirée de clôture du DimaJazz a, comme à l’accoutumée, tenu toutes ses promesses grâce aux onze membres du Wonder Collective qui ont sorti une prestation euphorisante et joyeuse placée sous l’explosive triade Funk, soul, rythm’n’blues . Arborant fièrement sur scène le wax, qui n’est pas sans rappeler les habits portés par Stevie Wonder lors de ses tournées d’antan, les musiciens formés dans le département jazz de l’Ecole nationale de musique de danse et d’art dramatique de Villeurbanne (France), ont parfaitement réussi leur mission en témoignent les déhanchements effrénés observés tout au long du spectacle dans l’enceinte du théâtre régional de Constantine. Portée par des vocalistes très performants, une section cuivre joyeuse, une rythmique dynamique, et un jeu de guitare énergique, le woco ont plongé le public du DimaJazz dans un état second, un public qui reprenait en chœur des tubes, « I Just Called to Say I Love You », « master blaster », « Do I do », « Higher ground » et bien d’autres morceaux qui auront permis à Stevie Wonder de bâtir sa propre légende et de faire de lui l’un des artistes les plus prolifiques du XXe siècle . Le groupe met fin une première fois au spectacle, mais le public qui avait du mal à se faire à l’idée que le spectacle devait, tôt ou tard s’achever, n’a pas hésité à réclamer du rab. Généreux, mais surtout très impressionné par la réceptivité du public du Dima Jazz ,le retour sur scène du Woco a été des plus intenses avec des musiciens redoublant d’ardeur pour interpréter les ultra-groovy « Superstition », « Another star » et « Keep on running ». En coulisse, le chanteur du Woco, Pierric Tailler a confié avoir été « impressionné » par tous ces grands noms du Jazz qui sont passés au DimaJazz depuis sa création» chose qui l’a encouragé à se donner à fond face au public.

De Quoi j'me Mêle

Placeholder

Découvrez toutes les anciennes éditions de votre journal préféré

Les + Populaires

(*) Période 7 derniers jours