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Lancement du projet du port-Centre d’El Hamdania

Il coûtera 6 milliards de dollars

le ministre des Transports a affirmé que ledit projet «sera raccordé à la ligne ferroviaire» s’étendant jusqu’aux capitales des pays africains situés aux frontières Sud du pays.

On en sait, maintenant, un peu plus sur le tant attendu projet du port-Centre d'El Hamdania. Le coût estimable de ce mégaprojet se compte en milliards de dollars. Le ministre des Transports, Lazhar Hani, a, en effet, révélé, hier, à Alger, que «le coût de réalisation du port-Centre de Cherchell devra osciller, selon l'évaluation initiale du projet, entre 5 et 6 milliards USD.»
Durant le jeu des questions réponses lors du Forum de la Radio nationale, le ministre des Transports, a affirmé que ledit projet «sera raccordé à la ligne ferroviaire» s'étendant jusqu'aux capitales des pays africains situés aux frontières Sud du pays. Une déclaration par laquelle le ministre a affirmé que l'aspect logistique a été pris en compte dans le dossier de la relance de ce projet, à l'effet de le relier (le port d'El Hamdania), au réseau ferroviaire pour faciliter l'acheminement de la marchandise depuis l'infrastructure, jusqu'aux frontières Sud du pays. Objectif: atteindre le marché africain. Dans ce sens il y a lieu de noter que le ministre avait, le mois dernier, affirmé que le plan global dudit projet, comprend également, le raccordement du port au réseau routier, avec le même objectif en le reliant via la route le l'Unité africaine. Abordant davantage de détails, Hani précisera que «cette structure stratégique se chargera du traitement de 6,5 millions de conteneurs et 25,7 millions de tonnes de marchandises/an et sera destinée au commerce national maritime, tout en étant un axe d'échanges au niveau régional, a-t-il poursuivi. Il y a lieu de noter que s'agissant des étapes prévues pour sa réalisation, le port sera, si tout ce passe comme prévu, réalisé en deux phase. La première, selon les déclarations du ministre, s'étalera sur les quatre prochaines années. Il est évident également de noter que le président de la République s'intéresse au dossier de ce mégaprojet. Tebboune l'avait réexaminé une seconde fois lors d'un Conseil des ministres tenu la fin du mois passé.
En référence à ses récentes déclarations, le ministre des Transports est revenu sur les questions de la remise en service du métro d'Alger et de la reprise des transports inter-wilayas. Il a déclaré qu' ucune décision «n'a été encore prise en raison de la situation sanitaire que traverse le pays». «Nous ne sommes pas encore préparés en termes d'organisation et la situation sanitaire n'est pas appropriée malgré la diminution du nombre de cas de contamination», a-t-il déclaré pour davantage d'explications. Hani a souligné, par ailleurs, que l'ouverture du secteur aérien au privé demeure une décision politique irréversible et ne se limitera pas aux lignes domestiques, mais également au transport international.
La raison? Le ministre répond à cette question en déclarant que la décision de créer une société publique de transport aérien qui s'occupe des lignes domestiques est intervenue au vu des difficultés rencontrées par la Compagnie aérienne nationale dans la gestion des transports internationaux et nationaux.

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