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Sommet sur les investissements en Afrique à Londres

L’Algérie choisie pour jouer un rôle «clé»

Le Royaume-Uni s’apprête à organiser le 20 janvier prochain à Londres, le Sommet sur les investissements en Afrique.

L’Algérie est l’un des 19 pays africains choisis pour jouer un rôle «clé» dans le prochain sommet sur les investissements en Afrique qui se tiendra à Londres prochainement, a indiqué hier, à Alger, l’envoyé économique du Premier ministre britannique en Algérie, Lord Risby. Lors de l’ouverture du 2e Forum algéro-britannique sur la cybersécurité, organisé au Centre international des conférences (CIC), Lord Risby a souligné que le Royaume-Uni s’apprête à organiser le 20 janvier prochain à Londres, le sommet sur les investissements en Afrique, où des entreprises, des gouvernements et des institutions internationales seront réunis pour présenter et promouvoir l’ampleur et la qualité des opportunités d’investissement en Afrique.
«L’Algérie est l’un des 19 pays africains choisis», a-t-il dit, pour jouer un rôle «clé» dans ce sommet, en tant que partenaire, où elle devra présenter ses projets futurs en matière de diversification économique pour amener les investisseurs britanniques potentiels à «penser à investir en Algérie» et pour créer davantage de partenariats «gagnant-gagnant».
Par ailleurs, la présidente du Conseil d’affaires algéro-britannique, Olga Maitland, intervenant sur le thème du jour, à savoir la cybersécurité, a plaidé pour le «partage des expériences» entre les pays, notamment avec l’Algérie pour réduire les risques d’intrusion et d’attaques informatiques.
«Nous sommes tous témoins de leurs impacts graves et sérieux qui affectent, à l’échelle mondiale, tous les aspects de la vie quotidienne», a-t-elle précisé, insistant sur le fait que les menaces de cyber-attentat peuvent déstabiliser n’importe quelle entreprise, voire réduire à néant l’activité de certaines d’entre elles.
Evoquant les cybermenaces, à savoir le cyberespionnage, le cyberterrorisme, la cybercriminalité, le cyberactivisme et la cyberguerre, le représentant du ministère de la Défense nationale a indiqué que ce type de menaces peut, non seulement toucher la personne en perdant son identité, sa confidentialité, son intégrité, elles peuvent aussi viser l’organisme et l’Etat à travers sa souveraineté qui pourrait être touchée. Pour conclure, il a appelé à considérer la cybersécurité tout au long ducycle de vie du système, intégrer la cybersécurité dans l’organisation, cloisonner les systèmes et «isoler» ceux sensibles, investir et développer dans des solutions propres et coopérer aux plans (national et international).
Dans une déclaration à la presse, le directeur-général de Cisco- Algérie, Karim Sid Ahmed, a indiqué que l’idée aujourd’hui est d’aller vers la cybersécurité dans les pays.
«Une thématique qui revient très souvent, vu les dangers qui guettent les Etats, les entreprises et les banques», a-t-il déclaré, notant l’importance d’«alerter l’opinion publique sur l’ensemble des menaces qui puissent exister avec la technologie». 

«L’Algérie est un pays très sécurisé»
La présidente du Conseil d’affaires algéro-britannique, Olga Maitland, a indiqué, hier à Alger, que l’Algérie est un pays «très sécurisé», appelant les hommes d’affaires britanniques à venir y investir. «Je peux vous dire que l’Algérie est un pays très sécurisé maintenant», a-t-elle souligné en marge du 2e Forum algéro-britannique sur la cybersécurité, faisant savoir que des «appels continuels» sont lancés en direction des entreprises pour venir investir en Algérie. «A chacune de mes rencontres avec les hommes d’affaires britanniques, je les assure qu’il n’y a aucun problème de sécurité en Algérie», a-t-elle précisé.

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