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La « griffe » de BHL contre l’Algérie

Derrière le rideau. Celui qui a lancé l’info du Parlement européen sur une prochaine «résolution d’urgence sur l’Algérie», c’est Raphaël Glucksmann. Il a 40ans. Il a «touché» au journalisme, au cinéma. Bien qu’il soit français, on le retrouve conseiller du président géorgien en 2014, il s’investit pour la Tchétchénie, l’Ukraine, pour le Rwanda et pour finir, en mai 2019, il parvient à se faire élire sur une liste écolo au Parlement européen. Un parcours, court mais très varié. S’il a pour père biologique le philosophe André Glucksmann, c’est un autre philosophe de la même engeance, Bernard-Henri Lévy (71 ans), qui en a fait son «fils spirituel». BHL le prend sous sa coupe en 2008 en l’infiltrant dans les institutions géorgiennes jusqu’à la présidence où il deviendra conseiller de Saakachvili. Dans une lettre ouverte, Raphaël Gluksmann avoue à BHL «toute sa reconnaissance». «Tu as été le facteur déclenchant d’un virage radical dans mon existence. Je ne t’en remercierai jamais assez» écrit, en 2008, le petit Glucks à son mentor, le philosophe à la chemise blanche et mercenaire qui a mis la Libye à feu et à sang depuis 2011. Raphaël Glucksmann connaît l’Algérie. BHL l’a déjà envoyé en «repérage» chez nous en 2004 avec comme «couverture» un stage dans un journal algérien. Il est resté sept mois dans notre pays. Quand on a remonté, même brièvement, le parcours du fils Glucksmann, on ne peut plus s’étonner de ses intentions concernant l’Algérie. BHL sait que son seul nom provoque l’urticaire aux Algériens, alors il n’apparaît plus ou presque pas. Il a trouvé en Raphaël Glucksmann, son clone parfait pour s’immiscer dans nos affaires. Rappelez-vous, il a toujours promis qu’après la Libye, il s’occuperait de faire tomber l’Algérie qui a su se donner les moyens pour barrer la route au «printemps arabe» qui a secoué la région en 2011. Il faut juste rappeler que le père Glucksmann, le philosophe qui est décédé en 2015, a été signataire avec Bernard Kouchner et d’autres, de « L’appel de la dernière chance pour une intervention urgente en Libye » initié par BHL. La suite tout le monde la connaît. Conseil de sécurité de l’ONU, l’Elysée de Sarkozy puis le Conseil de transition libyen avant la guerre civile sans fin dont souffrent les Libyens. Que BHL se serve du petit Gluks pour assouvir sa vieille rancune contre l’Algérie, cela ne fait plus aucun doute. Démasqué, il échouera, une fois de plus !

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