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Les dossiers qui attendent Tebboune

Perspective. Même au niveau international et depuis longtemps, tout le monde reconnaît la solidité des institutions algériennes. En tête desquelles figure l'institution militaire. Le gouvernement et le Parlement s'acquittent de leurs missions au quotidien et avec constance. La vie politique, économique, sociale et culturelle se poursuit quels que soient les événements imprévus qui peuvent surgir. Il est cependant, que dans la nature humaine de toujours aspirer à mieux et à plus. Lors de l'une de ses rencontres avec des responsables des médias, le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, leur avait confié (c'était au début du mois de mai dernier) que l'objectif (de la nouvelle Constitution) est «que l'Algérie voit au final ses institutions plus solides». Il avait cité la révision du Code électoral qui découle de l'adoption de la nouvelle Loi fondamentale. On peut y ajouter la loi sur les formations politiques ainsi que celle des associations civiles appelées à jouer un rôle plus accru dans le cadre de la démocratie participative. Ce sont autant de chantiers qui, s'ils ont été entamés, attendent cependant leur adoption et leur promulgation. Si la nouvelle Constitution a été adoptée par référendum le 1er novembre dernier et les résultats définitifs officiellement proclamés, le 12 novembre dernier, par le Conseil constitutionnel, il ne reste plus que sa promulgation par le président de la République conformément à son article 219. La dernière étape pour sa publication au Journal officiel pour être exécutoire. Ce n'est que sur cette base que les lois existantes pourront être révisées et mises en conformité. Il en est ainsi pour la loi électorale et celle des partis politiques qui devront d'abord être adoptées en Conseil des ministres avant d'être soumises au Parlement. Que ce soit pour la promulgation de la nouvelle Constitution ou l'adoption en Conseil des ministres des lois qui en découlent, la présence du président de la République est incontournable. Ce qui ne saurait tarder, tenant compte des derniers communiqués sur son état de santé. On doit à la vérité de dire que son retour est impatiemment attendu par l'ensemble des Algériens qui, s'ils ont l'air stoïque, n'en sont pas moins dans le souhait de le revoir. Ils le font savoir, de manière affectueuse, sur les réseaux sociaux. Ceci dit, il y a bien d'autres dossiers qui sont sur la table. Mais laissons le président rejoindre son bureau pour les évoquer! 

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