{{ temperature }}° C / {{ description }}

Cité introuvable.

Stand Casbah

Nadjib Stambouli dédicace « La rancune»

L’écrivain-journaliste, et surtout chroniqueur, Nadjib Stambouli, était au rendez-vous pour la quatrième année consécutive au stand des éditions Casbah, au pavillon central du Sila. Jeudi dernier, il est venu dédicacer son troisième roman intitulé « La rancune ». Ainsi, après « le Comédien » et « Le fils à maman », Nadjib Stambouli a répondu une année plus tard avec un nouveau roman « social », nous précise-t-il après avoir dédicacé un exemplaire à la dynamique écrivaine-poétesse Nadia Sebkhi, directrice de la seule revue littéraire en Algérie, Livresque.
Un moment immortalisé par son jeune fils qui l’accompagne désormais dans ce genre de pérégrinations littéraires. Nadjib Stambouli, en nous parlant de son nouveau roman, insiste sur le fait qu’il ne s’agit pas du tout d’un roman en rapport avec son métier de journaliste depuis qu’il a mis le pied à l’étrier en 1982 dans le prestigieux journal « Algérie Actualités ».
« Dans ce roman, je me suis départi complètement de ma casquette journalistique », avertit Nadjib Stambouli, connu dans les milieux des lecteurs de la presse pour son style exceptionnel, unique et inimitable, teinté d’humour, employé dans ses chroniques dont certaines ont été rassemblées et éditées dans son recueil « Impact », paru chez Marsa-éditions. « Il s’agit plutôt d’un roman sentimental et social », insiste notre interlocuteur.
Ce dernier précise qu’il écrit par plaisir. « L’écriture de ces romans n’est guère une thérapie pour moi, chaque écrivain a sa propre motivation et ses propres raisons d’écrire. Moi, je le fais par passion. Ça me fait plaisir quand j’écris, c’est tout », explique Nadjib Stambouli. Ce dernier étant toujours en exercice du métier de journaliste, où trouve-t-il le temps nécessaire pour écrire ? « J’écris en début de soirée, une fois à la maison le soir quand j’ai terminé le boulot », répond Nadjib Stambouli qui dit profiter au maximum quand l’inspiration est là pour écrire le maximum de pages.
Car, explique-t-il également, il peut traverser de longues journées sans pouvoir aligner deux seules lignes s’il n’y a pas d’inspiration. Nadjib Stambouli souligne en outre que quand il écrit, il pense constamment à ses lecteurs potentiels. « J’écris d’abord et avant tout pour le lecteur. Je pense à ce qui plaira au lecteur, à ce qui le tiendra en haleine tout au long de la lecture du roman. Donc, le lecteur potentiel ne me quitte pas jusqu’à la dernière phrase écrite du roman », précise encore Nadjib Stambouli qui a décidé de bifurquer vers l’écriture romanesque après avoir passé plus de trente-cinq ans dans l’écriture journalistique. A « Algérie Actualités » d’abord puis à « Ruptures » en compagnie de ses regrettés amis et collègues Tahar Djaout et Abdelkrim Djaad, mais aussi d’Arezki Metref, également présent au Sila en tant qu’écrivain pour dédicacer ses romans au stand des éditions «Koukou». Nadjib Stambouli nous a informés que l’un des plaisirs que procure l’écriture d’un livre, c’est aussi et surtout le fait d’aller à la rencontre de ses lecteurs à l’occasion des séances de vente-dédicace. Il nous annonce d’ailleurs qu’il programmera, dans les prochaines semaines, une séance de vente-dédicace à la librairie Cheikh de Tizi Ouzou, mais aussi à la librairie Maugin à Blida. A Alger aussi, il récidivera sans doute à la librairie du Tiers Monde de son ami Abderrahmane Ali-Bey qui a insisté jeudi, lors de la vente-dédicace au stand Casbah, de prendre une photo souvenir pour immortaliser ce moment agréable et convivial.

De Quoi j'me Mêle

Placeholder

Découvrez toutes les anciennes éditions de votre journal préféré

Les + Populaires

(*) Période 7 derniers jours