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Charfi : «La fraude sera impossible !»

Catégorique. Le défi semble avoir été relevé. Il est possible d’organiser des élections sans que celles-ci puissent être entachées de fraude. C’est le président de l’Autorité nationale indépendante des élections (Anie), Mohamed Charfi, qui l’a affirmé hier dans un entretien à l’APS. Pour lui «les procédures qui seront adoptées en prévision de la prochaine présidentielle et le système informatique qui sera utilisé pour la surveillance et l’assainissement des listes du corps électoral, relègueront la fraude au domaine de l’impossible». Un système informatique «piloté par des experts» qui sont sûrs de ne laisser passer aucune fraude. Voilà une garantie supplémentaire et de taille pour tous ceux qui craignaient que, cette fois, comme les précédentes, les fraudeurs puissent sévir. Grâce notamment aux possibilités offertes par la digitalisation qui est rendue possible aujourd’hui dans notre pays par l’étape antérieure qui a vu notre administration publique largement transformée par l’informatisation. Si la majorité des Algériens accueille avec satisfaction cette nouvelle, celle-ci ne sera pas du goût des groupuscules qui sont contre la tenue de l’élection présidentielle. L’affirmation de Charfi leur coupe l’herbe sous les pieds, eux qui avaient fait de la fraude électorale un véritable «fonds de commerce». Ils devront chercher autre chose pour essayer de leurrer les électeurs. Ce qui sera pratiquement impossible maintenant car l’adhésion de la majorité des Algériens à l’élection présidentielle comme unique solution de sortie de crise se vérifie chaque jour. Dans le même entretien à l’APS, le président de l’Anie, a révélé que la révision des listes électorales en cours connaît «une grande affluence». Signe probant du désir du peuple algérien de jouir pleinement des dispositions de la Constitution, notamment ses articles 7 et 8 qui consacrent la souveraineté populaire. Il faut rappeler que c’était une revendication fondamentale dès le 22 février dernier. Malheureusement, certains milieux tentent de priver les citoyens de leur droit de vote. Devant ce déni de droit, l’Armée nationale populaire a décidé de prendre les devants. Le général de corps d’armée, Ahmed Gaïd Salah, a donné ordre à tous les services de sécurité sur l’ensemble du territoire national à prendre toutes les mesures nécessaires pour le déroulement du scrutin dans la plus totale sérénité. Pour faire du 12 décembre un jour de fête !

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