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La pandémie et ses...bons côtés

Côté pile. Quand on parle du Covid-19, que ce soit ici ou ailleurs dans le monde, c'est pour étaler ses multiples conséquences néfastes. En premier viennent les décès des personnes contaminées. Ensuite, les souffrances endurées par ceux qui en guérissent. Il y a aussi les effets psychologiques induits par le confinement. Au-delà des incidences sur la santé humaine, le coronavirus a mis à genoux l'économie mondiale. Avec son lot de chômage et de récession. Il a ébranlé tous les systèmes de santé, même ceux réputés solides des pays avancés. Il n'a pas épargné la vie politique puisque des chefs d'Etat- et pas des moindres- ont été fragilisés pour avoir sous-estimé cet ennemi invisible. Bien d'autres conséquences restent à découvrir comme les séquelles évoquées par plusieurs scientifiques. Ou encore le baby-boom planétaire qui pourrait apparaître dans quelque temps et qui serait la suite logique du confinement. Bref, cette pandémie a mis le monde sens dessus dessous. Notre pays, l'Algérie a eu sa part de conséquences. S'il fallait classer les pays selon la gravité des conséquences du Covid-19, nous ne sommes ni en tête ni en queue de ce classement. Pourtant, nous avions dû affronter la pandémie dans des conditions plutôt défavorables. Crise politique durant toute une année. Chute du prix du baril. Les caisses de l'Etat vandalisées par une corruption à grande échelle. Etc. Pourtant, aussi et à peine l'avions-nous élu que notre président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a dû affronter ce redoutable ennemi invisible. Ce qui l'a contraint à reporter beaucoup de projets inscrits à son programme de campagne «pour une nouvelle République». Révision de la Constitution. Loi électorale. Des partis. Sans compter les réformes économiques contre la rente pétrolière par exemple. Il n'empêche que Tebboune a fait face avec courage à tous ces aléas. Avec aussi une expertise qui a étonné plus d'un. Jusqu'à l'ambassadrice de Suède à Alger qui ne s'est pas retenue pour nous dire que «votre président est un visionnaire» en sortant d'un entretien avec lui. Bref, notre objet aujourd'hui, ce sont également ces commerçants qui ont ouvert le jour de l'Aïd sans être concernés par la permanence. L'Association des commerçants les a remerciés. Alors que c'est le Covid-19 qui a empêché les mouvements habituels de population en pareil cas. Ceci expliquant cela. C'est l'un des aspects positifs de la pandémie. Il y en a d'autres...!

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