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Triste sort des néo-harkis

Déroute. Le regain des attaques contre l'Algérie, par divers moyens de déstabilisation, confirme que les plans, que nos ennemis avaient initialement élaborés, ont complètement échoué. La coordination des officines étrangères a volé en éclats. Les supplétifs qu'elles avaient recrutés paniquent. Actuellement, nous assistons à des convulsions de la bête blessée. Lundi dernier, notre ministère de la défense nationale a publié un communiqué pour «démentir catégoriquement des calomnies infondées». Et de préciser: «Encore une fois, certains porte-voix tendancieux habitués à pêcher en eaux troubles, tentent de diffuser des propos mensongers et des contrevérités, pour porter atteinte à l'image de l'Armée nationale populaire et ce, en profitant de la situation sanitaire particulière que vit notre pays, à l'instar de l'ensemble des pays du monde, suite à la propagation de la pandémie du nouveau coronavirus...ces parties oeuvrent à induire en erreur l'opinion publique et prétendent l'existence d'une exagération dans l'application des mesures préventives contre cette pandémie sur les personnels militaires, en les mettant en confinement loin de leurs familles, et créant ainsi un climat d'indignation parmi les militaires». Comme la pandémie s'est étalée par surprise sur toute la planète, aucune officine n'avait prévu de s'en servir. Ce qui explique l'improvisation laissée aux différentes «sections» pour ruer dans les brancards. Cette fois c'est l'absence de permissions qui a été montée en épingle, une autre fois ce sera le soleil qui donne des insolations à nos frontières de l'extrême Sud et autres balivernes. Une «section» attaque l'ANP, une autre «section» s'occupe de la Dgsn, une autre est chargée de «descendre» Air Algérie tandis qu'une autre se consacre à monter des «salades» sur la Sonatrach. Ce regain d'attaques contre nos institutions a démarré juste après l'arrêt des marches du vendredi pour cause de confinement. Ce qui prouve que le Hirak servait, à son corps défendant, de «cheval de Troie» aux néo-harkis qui sont contraints aujourd'hui d'agir à visage découvert. Ce que ces malheureux supplétifs médiatiques ignorent, c'est qu'arrivera le jour où ils seront laissés sur le carreau par leur maîtres comme avaient été abandonnés par l'armée française les harkis en 1962. Lorsqu'ils s'en rendront compte, ce sera trop tard. Les algériens ne pardonnent jamais aux collabos. Pendant ce temps, l'Algérie triomphe!

De Quoi j'me Mêle

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