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Le fils d'une figure du Jihad islamique palestinien tué dans une frappe à Damas

Des projectiles se sont abattus mardi matin à Damas sur la maison d'une figure du mouvement de résistance palestinien Jihad islamique, tuant deux personnes dont son fils, a indiqué l'agence de presse officielle syrienne Sana, imputant la responsabilité de la frappe à Israël. Le Jihad islamique, dont un haut commandant a été tué dans le même temps par l'occupation israélienne dans la bande de Ghaza, a confirmé la frappe à Damas. Deux projectiles ont touché à l'aube la maison d'Akram Ajouri, tuant "son
fils Maaz et une autre personne", a indiqué Sana. Sur les lieux de l'attaque, dans un quartier huppé de Damas, non loin de
l'ambassade du Liban, des médias rapportent qu'un immeuble de trois étages a été partiellement détruit et toutes les fenêtres soufflées. Le Jihad islamique a confirmé dans un communiqué la mort du fils d'Akram Ajouri dans cette frappe, intervenue alors qu'une agression israélienne a coûté la vie à un haut commandant du mouvement dans la bande de Ghaza. "La maison d'un membre du bureau politique du Jihad islamique en Palestine, Akram al-Ajouri, a également été prise pour cible à Damas, tuant l'un de ses fils", affirme le mouvement. Interrogée sur cette frappe à Damas, l'armée israélienne a répondu: "sans commentaire".

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