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Sans présenter des candidats issus de leurs rangs

El Islah et Adala partants pour le scrutin

Les partis islamistes El Islah, de Filali Ghouini et Adala, de Abdellah Djaballah sont sur la même position, à une nuance près. Les deux partis ont pris la résolution de ne pas présenter un candidat issu du parti, mais tous les deux prennent part à l’élection présidentielle. La nuance tient dans le fait que le premier entend jouer une part active dans le processus, alors que le second temporise encore. En effet, le mouvement El Islah affiche une réelle volonté de prendre part à la prochaine élection présidentielle. «Notre mouvement prendra part à cette élection, mais nous n’avons pas encore tranché la manière de notre participation», a indiqué Ghouini. Le chargé de communication auprès de l’Anie, Ali Draâ, a fait savoir que parmi les postulants au prochain scrutin présidentiel figuraient des responsables de partis politiques, à l’instar de Ali Benflis, président du parti Talaïe El Hourriyet (avant-gardes des libertés), Abdelaziz Belaïd, président du Front
El Moustakbal, Aïssa Belhadi, président du Front de la bonne gouvernance, Abdelkader Bengrina, président du mouvement El Bina, Ali Zeghdoud, président du parti du Rassemblement algérien (PRA), Mourad Arroudj, président du parti Errafah, ou Belkacem Sahli, président de l’Alliance nationale républicaine (ANR). Pour sa part, le parti de Abdallah Djaballah a quelque peu inversé les priorité et a nettement affiché le refus de son président de se porter candidat. Cela étant dit, Adala ne se positionne pas pour autant contre le processus électoral. En d’autres termes, il ne boycottera pas. Apportera-t-il son soutien à un candidat de sa famille politique, en la personne de Abderrezak Makri, dont la participation ou pas au scrutin présidentielle sera décidé aujourd’hui ? Le parti de Filali Ghouini en fera-t-il de même ? Même si, objectivement, l’on s’attend à une alliance au sein de la famille islamiste, il reste néanmoins peu probable de voir pareil scénario se réaliser. Au sein de la famille islamiste comme dans le camp démocrate, les divergences et les luttes de leadership ont toujours empêché une candidature commune.

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