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Carnet de campagne / Bengrina depuis Oran

Il faut en finir avec la «Issaba» !

Le candidat affirme, ouvrir tous les dossiers de corruption s’il venait à être élu président de la République.

Le candidat à l’élection présidentielle du 12 décembre prochain, Abdelkader Bengrina, a reçu, jeudi, deux ambassadeurs étrangers. Il s’agit de l’ambassadeur de l’Arabie saoudite en Algérie Abdelaziz Al Amirini, et John P. Desrocher, ambassadeur des Etats-Unis d’Amérique à Alger. En effet, pour le 19e jour de campagne à l’élection à la magistrature suprême du pays, le candidat d’EL Bina El Watani, a choisi de consacrer cette journée à des entretiens avec des représentants diplomatiques Cela dit, Bengrina, qui, depuis le lancement de la campagne présidentielle, interagit avec l’actualité politique, affirme en ce qui concerne le procès des responsables impliqués dans l’affaire des usines de montage automobile, qui a débuté mercredi dernier, s’attendre à un procès équitable. « Je m’attends a un procès équitable des symboles de la corruption. » Avant d’ajouter « les responsables qui sont en prison jouissent de la présomption d’innocence ».
S’exprimant lors d’un meeting populaire animé à la salle Saâda dans la ville d’Oran, Bengrina a assuré que les Algériens sont disposés à défendre la souveraineté et la stabilité de la patrie, avant de soutenir que « notre armée dispose d’armes évoluées qui doivent servir conformément à la doctrine algérienne dans la préservation de la souveraineté de la patrie et de sa stabilité . Nous sommes des partisans de la paix et nous ne sommes pas des va-t-en-guerre, mais lorsque notre pays subit une agression, une violation ou une menace, nous sommes prêts à se sacrifier ». Il profite également de cette rencontre avec ses partisans de l’Oranie, pour réaffirmer ses positions sur la « Issaba » et son « aversion » des pratiques douteuses qui sont encore monnaie courante chez ceux qu’ils qualifie de relais de la « Issaba ». Il a d’ailleurs indiqué que certaines parties lui ont proposé un soutien pour décrocher le poste du président de la République, mais il a « opposé son refus catégorique ». « Je ne tends pas ma main aux relais de la «Issaba», car j’ambitionne d’obtenir des voix régulières », a-t-il déclaré, s’engageant à « ouvrir tous les dossiers de corruption, si le peuple lui accordait sa confiance le 12 décembre par la voix des urnes ». Il profite d’ailleurs de cette occasion pour alerter contre l’éventualité de la fraude électorale orchestrée par la «Issaba».
«Celle-ci est toujours puissante et présente au sein des institutions de l’État. Ils veulent faire avorter l’élection ou, à défaut, pratiquer la fraude, afin de faire élire leur représentant » a t-il affirmé sans nommé ce prétendu candidat.

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