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Carnet de campagne / Bengrina à Aïn Defla

Il tend la main à l’opposition

L’ex-ministre du Tourisme, en lice pour l’élection du 12 décembre prochain, réaffirme ses positions. La diversité politique permet la construction d’une nation forte .

Pour son 13e jour de campagne électorale, le président du mouvement El-Bina El-watani, Abdelkader Bengrina, fait une escale à l’est du pays. C’est à Bordj Bou Arréridj, puis à Sétif, que se rendra le candidat pour y animer deux meetings populaires. Depuis le lancement officiel de la campagne présidentielle Abdelkader Bengrina multiplie les sorties publiques sillonnant ainsi les quatre coins du pays. Il affirme vouloir être à l’écoute des préoccupations de ses concitoyens.
C’est dans le nord-ouest du pays, que s’est rendu jeudi dernier, Abdelkader Bengrina, pour le 13e jour de la campagne électorale. Plus précisément dans le villes de Chlef, puis Aïn Delfa, pour aller à la rencontre de ses partisans dans la région.
Le prétendant à la magistrature suprême du pays, qui se montre inquiet depuis quelques jours quant au déroulement du scrutin présidentiel du 12 décembre prochain a averti, lors de son meeting populaire à la Maison de culture, Emir Abdelkader dans la ville de Aïn Defla. «Le peuple a atteint un niveau de conscience élevé qui lui a permis de faire tomber la ‘’issaba’’, en sortant le 22 février contre la corruption, si les relais de la «Issaba» ont l’intention de frauder, ils doivent se rappeler que le Hirak du 22 février peut se calmer, mais va se soulever une deuxième fois». Et il défend le fait que «personne ne peut exercer la tutelle sur le peuple ni de souveraineté autre que celle du peuple, à travers le choix de son représentant pour barrer la route à tous ceux qui osent porter atteinte au pays». Ajoutant que «le peuple est le seul qui décide de son sort lors d’élections régulières et transparentes, Si cela arrive, le prochain président sera au service du peuple, et s’il y a fraude, il sera le serviteur de celui qui le désignera à la tête du pays». Tout en certifiant que la «nouvelle Algérie ne tolèrera ni acceptera, sous aucune condition, la fraude contre la volonté populaire». S’exprimant sur les risques sécuritaires qu’encourt le pays, Bengrina affirme que seul le vote massif des Algériens écartera toutes les menaces qui guettent le pays.
«Si nous voulons faire face aux risques qui guettent la sécurité et la souveraineté nationales, les Algériens devront être convaincus qu’ils n’ont d’autre solution que l’élection», a-t-il appuyé, argumentant que lorsque «le peuple choisit librement, nous pourrons, ainsi, édifier la nouvelle Algérie pionnière». D’ailleurs, il appelle l’ensemble des Algériens à s’unir et ne pas laisser les divergences politiques être la cause d’une scission entre les Algériens et rappelle que «le pays vit une situation de division, d’où la nécessité de réunir nos rangs de nouveau, nous avons un seul projet, l’édification de l’Algérie nouvelle, et les divergences politiques ne doivent pas nous séparer, on doit en faire une force».

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