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Le Cnes veut des réformes profondes

«Il est possible pour l’Algérie d’exploiter cette double crise pour venir à bout du marché parallèle de la devise.»

«L’Algérie doit exploiter la double crise actuelle, sanitaire marquée par la propagation du coronavirus et énergétique caractérisée par la baisse des cours du pétrole, pour engager des réformes économiques et financières profondes», c’est ce qu’a déclaré, dimanche, à Alger le président du Conseil national économique et social (Cnes), Rédha Tir, lors d’un point de presse.
Revenant sur la situation financière du pays, Rédha Tir soutient qu’«une importante marge de manœuvre permise par une réserve de devise aussi importante, de près de 62 milliards de dollars, permettant à l’Etat de couvrir les déficits de la balance commerciale et de la balance des paiements. Dans le pire des cas et de manière exceptionnelle, le financement non conventionnel reste une option».
Dans ce sens, Rédha Tir a estimé qu’il «est possible pour l’Algérie d’exploiter cette double crise pour venir à bout du marché parallèle de la devise, tout en baissant la valeur du dinar, et maintenir la poursuite de la numérisation des administrations du pays, principalement au niveau de la gestion informatique des dépenses de l’Etat et au niveau de l’administration fiscale afin d’améliorer le recouvrement d’impôts».
Par ailleurs, le président du Cnes a tenu à insister sur «le respect des règles de confinement ainsi que l’ensemble des règles édictées par le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, notamment à travers la commission de suivi de l’évolution de l’épidémie».

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