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Les pour et les contre

Le Mouvement populaire après l’élection

«La continuation du Mouvement populaire est la promesse et l’assurance d’un avenir meilleur.»

«Je suis d’avis que ce Mouvement populaire ne s’arête pas, même après l’élection présidentielle», c’est en ces termes, que s’est exprimé un des plus influents membres du panel pour le dialogue, le docteur Ammar Belhimer. Pour lui, il serait même question de donner un caractère constitutionnel à cette dynamique populaire pour jouer un vrai rôle de contre pouvoir. Le professeur Belhimer n’est pas le seul à formuler et appuyer cette idée qui a fait son chemin. Invité sur les ondes de la radio Chaîne3, le professeur Mohamed Chérif Belmihoub a soutenu cette idée. Il indique dans ses propos que la continuité du Mouvement populaire pacifique est la promesse d’un avenir promettant et prospect. «La continuité du Mouvement populaire est la promesse et l’assurance d’un avenir meilleur.» Dans ce même ordres d’idées, on note que plusieurs personnalités publiques où figurent principalement des hommes politiques, des intellectuels, des militants et des hommes de loi, ont appelé les citoyens à rester pacifiques, sereins et surtout calmes. Le caractère pacifique de ce Mouvement populaire ne doit en aucun cas prendre une mauvaise tournure. «La forte présence policière répartie à travers les artères de la capitale constitue un indicateur majeur que la journée d’aujourd’hui ne sera sûrement pas une journée ordinaire», souligne un des observateurs de la scène politique. Pour lui, au regard des foules qui venaient de toutes parts, avec la ferme résolution de faire avorter le scrutin, il est à craindre que cette journée sera une journée à hauts risques. «Si on prend en considération les heurts ayant émaillé l’opération de vote dans les centres des représentations consulaires à l’étranger, il faut rester vigilants et surtout calmes», ajoute-t-il, en invitant les Algériens à éviter la confrontation et à se respecter mutuellement. «Que chacun d’entre nous exprime sa volonté et son opinion en respectant l’avis des autres», indique un autre militant.
Par ailleurs, il est important de souligner que dans ce contexte, assez particulier, les Algériens sont appelés à rester pacifiques et exprimer leur opinion comme ils l’ont fait les 10 derniers mois. D’un autre côté, plusieurs universitaires et hommes politiques expriment que ce scrutin sera une solution d’un début de sortie de crise. «Ces élections présidentielles sont la seule voie démocratique et constitutionnelle à même de permettre au pays de sortir de la grave crise politique qu’il traverse, depuis des mois», indique un universitaire. Convaincu de cette démarche, pour lui il n’y a pas d’autres issue, pour permettre au pays de sauvegarder sa souveraineté et sa stabilité, tout en assurant le changement souhaité par le Mouvement populaire. Plusieurs autres personnalités partagent cette idée. Pour eux, l’Algérie a besoin d’un président élu par le peuple. «L’urne est la seule réponse.»

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