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Prolongation de la période transitoire « non déclarée »

Le PLJ met en garde

«Plus la solution à la crise tarde, plus elle sera compliquée.»

Le Parti de la liberté et de la justice ( PLJ) a mis en garde, hier, dans un communiqué contre la prolongation de la période transitoire « non déclarée » ouverte après le report sine die de l’élection présidentielle, estimant que le retard pris pour trouver une solution à la crise constitue « une source de danger pour la sécurité, la stabilité et l’économie nationale ». « La période transitoire sera encore d’autant plus incertaine si les initiatives de sortie de crise lancées par des forces politiques, sociales et des personnalités nationales restent en marge des préoccupations du pouvoir de fait », a averti le parti. Il a estimé que « plus la solution à la crise tarde, plus elle sera compliquée et constituera une source de danger pour la sécurité, la stabilité et l’économie nationale », soulignant la nécessité d’accompagner les appels successifs au dialogue de «mesures concrètes» qui « instaurent la confiance entre le pouvoir et le peuple représenté par les forces politiques et sociales dont il émane ». « Point de sens à un dialogue ou à un consensus si en même temps des pressions sont exercées sur les médias, des obstacles dressés devant les activistes politiques, autant de mesures provocatrices pour l’opinion publique dans l’espoir de réduire le niveau de la mobilisation populaire », a-t-il affirmé. Selon le PLJ, « la sensibilité de la situation exige plus de sagesse pour créer l’atmosphère nécessaire à la réunion de tous les efforts en vue de mettre un terme à la crise dans les plus brefs délais ». Il a estimé, à ce titre, que « le problème aujourd’hui ne réside nullement dans le comportement de groupes de manifestants qui exhibent la symbolique d’une des trois composantes de l’identité nationale tranchées définitivement et sans distinction par la Constitution qui en fait d’ailleurs, par des garanties précises, le socle de l’unité nationale ». Le vrai problème, d’après le PLJ, réside dans « la minorité politico-financière corrompue qui tente encore à travers ses bras dispersés dans le pays de reprendre l’initiative sur le terrain », soulignant « le danger que peuvent constituer les tergiversations retardant le départ des symboles du régime exigé par le Hirak depuis le 22 février comme impératif préalable au changement radical revendiqué ».

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