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Abdelmadjid Tebboune sur le secteur de l’éducation

«Les programmes scolaires seront revus»

Ce dernier a évoqué l’Education nationale s’engageant à la révision et à l’allégement des programmes scolaires.

Abdelmadjid Tebboune s’est engagé, jeudi, à revoir les programmes scolaires et à régler le problème de la surcharge du cartable de l’élève, a indiqué l’APS.
Dans son premier discours à la nation à l’issue de sa prestation du serment constitutionnel, ce dernier a évoqué l’Education nationale s’engageant à «la révision et à l’allégement des programmes scolaires, particulièrement pour le cycle primaire, et au règlement du problème de la surcharge du cartable scolaire».
Estimant que «l’éducation est devenue une préoccupation pesante pour la famille et l’Etat à la fois», Tebboune a promis davantage de renforcement des cantines et du transport scolaire à travers tout le territoire national, notamment dans les régions enclavées, les zones rurales et les régions du Sud ainsi que de l’intérêt et du soutien à l’enseignant, matériellement et socialement. Concernant le secteur de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, le président de la République a mis en avant l’importance de lui accorder l’intérêt indispensable afin de lui permettre de jouer «un rôle pionnier dans l’édification de la nouvelle République algérienne», à travers le développement des programmes pour hisser le niveau des diplômés et jeter des passerelles entre l’université et le monde du travail afin de faire de cette dernière «la locomotive de l’édification d’une économie forte». Abdelmadjid Tebboune s’est engagé, par ailleurs, à «valoriser la bourse universitaire, notamment pour les étudiants en sciences exactes et à promouvoir la profession d’enseignant et de chercheur sur les plans matériel et social».
Il a souligné, dans ce sens, l’impératif d’associer les enseignants et les chercheurs universitaires dans le développement de l’enseignement supérieur dans tous ses volets, mettant l’accent sur «le problème de l’unification de la langue d’enseignement depuis le primaire jusqu’à l’université».
Le président de la République a soutenu, en outre, qu’il œuvrera à l’autonomie de l’université, à la création de pôles d’excellence et l’éradication de la bureaucratie qui «tue la créativité et l’innovation», a-t-il ajouté. Autant dire, que cela ne s’annonce pas facile, pour ce « président » en quête de légitimité. Les syndicats demeurent partagés quant à aller vers un dialogue. 

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