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5e édition du Prix du président de la République du journaliste professionnel

Une ambiance d’osmose générationnelle

L’ambiance était aussi rivée vers les aînés qui ont été distingués, que ce soit pour ceux qui sont toujours en vie ou pour ceux qui ne sont plus de ce monde, à titre posthume.

Le Prix du président de la République du journaliste professionnel dans sa 5ème édition sous le thème « les vertus du dialogue », a vu la distinction de 12 lauréats. Le prix, qui coïncide avec la célébration de la Journée nationale de la liberté de la presse, renvoie à un cérémonial où le prolongement entre les générations de la corporation se fait exprimer à travers les aînés et leur abnégation et dévouement dans un contexte totalement différent et périlleux et la génération d’aujourd’hui en quête d’un sursaut salvateur dans la perspective de prendre le timonier et le faire rimer avec les exigences qu’impose la conjoncture nationale et internationale en même temps. La cérémonie s’est tenue en présence du ministre de la Communication et ministre de la Culture par intérim, Hassane Rabhi ainsi qu’un panel de responsables du gouvernement et des personnalités du monde médiatique et journalistique.
Le premier lauréat du Prix de la presse écrite est le journaliste du quotidien Ennasr, pour son travail sur le conflit d’El-Hadjar « Comment l’administration et les syndicats du complexe El Hadjar ont réussi à mettre un terme à la crise au sein de l’entreprise ». Le Deuxième Prix a été décerné au journaliste du quotidien Horizon, Mohamed Medjahdi pour son travail journalistique « Les idées en or éclairent les sociétés et bâtissent les nations », quant au Troisième Prix de la presse écrite, il a été décerné à une journaliste qui exerce au journal privé El Hiwar pour son travail « Le dialogue est la seule solution pour éviter les protestations qui s’élargissent aux présidents des APC ».
Pour la catégorie télévisuelle, le Premier Prix a été octroyé à la journaliste de l’Entv pour son travail documentaire sur « Le rendez-vous des hommes libres », le Deuxième Prix est revenu aussi à un journaliste de la même boîte publique, Entv, Tahar Hellis pour son travail « Le groupe des 22, naissance de la Révolution ». Il faut signaler que dans cette catégorie télévisuelle, le Troisième Prix n’a pas été décerné.
Les journalistes de la radio ont eu aussi leur part de la distinction, dans cette catégorie radiophonique, le Premier Prix est revenu à la journaliste de la chaîne radio Relizane pour son travail sous forme d’un reportage sur la localité de Oued R’hiou « Un modèle de dialogue pour le règlement de la crise à Oued R’hiou », le Deuxième Prix radiophonique est revenu au journaliste Ramdane Djaâfri de radio Adrar pour son œuvre radiophonique « les diverses méthodes et les moyens de dialogue chez les tribus sahariennes », idem pour la troisième place, le lauréat c’est Hassene Zitouni pour la Radio locale de la wilaya de Tipasa, pour son thème « Dialoguer, pour le bien du citoyen ». Pour la presse électronique, cette catégorie s’est vue récompensée à travers la journaliste Hanane Charef qui s’est spécialisée dans le multimédia pour le compte de la Radio nationale pour son travail « Le dialogue des jeunes du Hirak via Facebook » ainsi le Deuxième Prix a été éliminé et le Troisième Prix a été décerné à Asmaa Behlouli pour le site Echourouk on line pour son travail sur «Le dialogue politique ». La catégorie illustration photo a eu à son tour le droit à des prix dans le cadre du concours du Prix du président de la République en la matière. Pour cette catégorie, il y a eu un seul prix unique à la faveur du photographe Ghalem Mohamed Salim du quotidien El Djamhouria.
L’ambiance était aussi rivée vers les aînés qui ont été distingués que ce soit pour ceux qui sont toujours en vie ou pour ceux qui ne sont plus de ce monde, à titre posthume.
La distinction se veut comme une reconnaissance à l’ancienne génération qui a su mettre en place un levier de combat dans le but de la libération du pays en consacrant la parole et l’information réelle comme instrument de résistance et de lutte contre la désinformation de l’ennemi, mais aussi pour élever la conscience révolutionnaire des Algériens qui croupissaient dans l’ignorance imposée par une langue nuit coloniale.

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