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Nouveaux bacheliers

Le parcours du combattant

l’université Akli Mohand Oulhadj est composée principalement de deux campus.

L’université Akli Mohand Oulhadj de Bouira ouvre ses portes du 15 juillet jusqu’au 23 du même mois. L’action est destinée aux nouveaux bacheliers qui auront l’occasion de connaître les débouchés offerts au niveau des six facultés que compte cette université. Ces journées organisées au niveau de la bibliothèque centrale se veulent une fenêtre sur les disciplines enseignées, les conditions d’accès et les formalités à suivre par les futurs étudiants qui auront subi avec succès l’examen du baccalauréat.
Pour rappel, l’université Akli Mohand Oulhadj est composée principalement de deux campus. Elle compte 23126 étudiants dans les formations pour l’obtention de la licence, master et doctorat (LMD). Elle comporte aussi six facultés et deux instituts d’envergure nationale. Sur un total de 737 encadreurs, 70% sont des maîtres-assistants de catégories A et B et 100 maîtres de conférences. Si la moyenne nationale est de un professeur pour 25 étudiants, le prorata à Bouira varie selon les facultés d’un professeur pour sept étudiants jusqu’à un pour 40 étudiants. Lors de la dernière session ordinaire, la deuxième de l’APW, le dossier a fait l’objet d’une réflexion et d’un débat qui a fait apparaître plusieurs lacunes qui entravent sensiblement la formation des étudiants. Des manques en personnels administratifs se résument à 578 ATS et contractuels, des chiffres en deçà de ceux nécessaires. Alors que le nouveau pôle qui s’étale sur 54 ha dispose de 10 accès et accuse un manque en personnel de sécurité, l’administration s’est trouvée obligée de n’ouvrir que deux d’entre eux. Le personnel composé de 95 agents ne dispose ni de radio ni de tenue, encore moins de matériel nécessaire à la surveillance nocturne. Parmi les difficultés soulevées, il est question d’un manque énorme en matière d’alimentation en eau.
L’ensemble des réseaux installés sur ce nouveau pôle réalisé il y a à peine 5 ans, est défectueux. Au niveau de l’ancien campus, c’est tout un département qui menace ruine.
Le bloc des sciences économiques a été bâti sur une source d’eau et le liquide remonte à la surface.
Le Staps, institut spécialisé dans l’éducation sportive attend son complexe sportif inscrit depuis des années puis a été touché par la mesure de gel et les reports suite au manque de finances.
L’autre grand souci du recteur reste la relance du projet des 60 logements destinés aux professeurs et dont les travaux sont à l’arrêt en raison des difficultés financières de l’entreprise. Même si en chiffres, la direction des œuvres universitaires peut crier victoire. Selon le rapport de la commission de wilaya APW, la situation reste peu reluisante.
Les six restaurants universitaires dispensent 21700 couverts par jour.
Les enceintes sont dans une situation dégradée qui nuit à l’image, mais aussi à la qualité des repas. 17 000 étudiants perçoivent leurs bourses.

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