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Les «dérapages» des vacances

Les procès sur les accidents de la circulation ne sont pas nombreux en ces temps de canicule et surtout de congés de magistrats, partis se reposer avec leurs familles privées de leur présence durant toute l’année. C’est pourquoi, lorsqu’un procès se tient en début du mois de septembre 2019, nous nous faisons un devoir d’y assister et surtout pour voir à l’œuvre des juges du siège rendre justice en l’absence du juge titulaire du siège pendant toute l’année.
Le sinistre d’aujourd’hui concerne la bêtise humaine car, outre l’excès de vitesse, les défauts techniques et mécaniques du véhicule, il faut ajouter le franchissement de la ligne continue, qui a été à la base de l’accident qui a vu malheureusement de sérieuses blessures d’une jeune dame qui se rendait au chevet d’un… accidenté la veille sur l’autoroute Est-Ouest, au niveau de la bretelle de la Chiffa menant vers Médéa. Comme quoi, le destin vous suit partout ! Là aussi, il faut dénoncer les dépassements dangereux, lesquels, ajoutés à l’excès de vitesse, deviennent des trucs de mort. C’est ainsi que l’accident ayant mis en cause un pourtant ancien chauffeur de poids lourd, va se terminer par le retrait du permis de conduire pour une longue durée, de quoi oublier les dépassements dangereux et l’excès de vitesse réunis ! C’est la seule leçon à retenir d’un procès où la mort d’individus, était, heureusement, absente.
Le dernier grave accident signalé la quinzaine dernière, a vu 11 Africains restés sur le carreau du côté d’Adrar (sud du pays) et c’est là encore, un drame à cocher, car le pays n’arrêtera jamais de cocher ses victimes d’accidents de la route.

De Quoi j'me Mêle

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