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Les échos sont restés, là

Les lampions sont éteints depuis le samedi 16 janvier 2021 sur les débats du procès dit du «montage-automobile. Attendu pour le 28 de ce mois, le verdict que personne ne peut donner, faute de pronostiqueurs objectifs et d'éléments suffisamment solides. Les premiers concernés par ce constat somme toute sérieux, sont, juste après les prévenus, leurs avocats. Pour leur part, Me Zakaria Zerak, le jeune et mordant avocat d'Alger, a effectué un travail colossal pour sauver des «fers rougis à blanc», un client malmené de bout en bout, depuis la convocation des gendarmes de Bab Ejdid (Alger) jusqu'au «Ruisseau». Me Ibticem Salhi, la très jeune et charmante avocate de «Aïn El Fouara», s'est déplacée au boulevard «Boussaàd Fernane» pour assurer devant les juges, que «la société mouillée avec Mazouz, n'a rien à se reprocher et qu'il faille revoir la copie en tenant compte des faits réels et non des mirages présentés à la justice!» Et Me Salhi d'effectuer une chute comme à la parade:
« Je vous en conjure, des dizaines de familles sont au bord de l'effondrement. Faites en sorte que les postes de travail soient sauvegardés!» Parmi ces derniers, mous avons choisi deux d'entre eux, en l'occurrence Me Ferial et Me Badreddine Mouloudji pour nous éclairer sur le travail fait par «une juridiction montée par trois présidents de tribunaux choisis selon des critères que seuls, les deux chefs de cour d'Alger, maîtrisent.» a estimé Me Ferial, qui n'en dira pas plus, l'affaire étant toujours sous le décryptage des juges! Pour Me Mouloudji, « nous avons fait ce que nous devions faire et donc, il faut attendre le verdict avant de donner les impressions, aujourd'hui sous l'éteignoir, réserve oblige. Il y a parmi les prévenus rejugés, après le retour de l'affaire à la case départ, une impression que la justice, est sortie, un an et demi après, de l'ambiance électrique créé par les premiers jours du Hirak qui a rassemblé un peuple voulant absolument se débarrasser « de la chape de la peur»! Me Mouloudji a été enchanté de constater que les vieux et expérimentés juges de la Cour suprême, qui ont découvert après une longue et minutieuse lecture du dossier, des bévues criardes et censées donc ont renvoyé à la cour d'Alger tout ce beau monde revoir la copie de la brûlante sentence du tribunal de Sidi M'hamed-Alger! De toutes les façons, le sérieux boulot effectué par les magistrats de la cour d'Alger, a soulevé un inutile boucan, mais que le bon travail relevé pendant une semaine, a étouffé dans l'oeuf toute stérile polémique!

De Quoi j'me Mêle

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