{{ temperature }}° C / {{ description }}

Cité introuvable.

Tipasa, une cour au souffle retrouvé

La cour de justice de Blida a longtemps eu sous sa coupe l’actuelle cour de Tipasa et a subi donc des revers, surtout de la part du tribunal de Chéraga, qui relevait, disait-on, en catimini, il n’y a pas si longtemps, que l’unique autorité provient de la « cour du Club des pins » ! Evidemment, cette courte blague faisait pleurer beaucoup plus de gens qu’elle n’en faisait rire ou sourire d’autres, plus veinards, en matière de piétinement d’application de la loi ! L’injustice régnait à telle enseigne que certains justiciables et même certaines robes noires, marqués au fer rouge par des magistrats qui adoraient se coucher devant les coups de fil de qui vous savez, et qui ne craignaient nullement les recommandations de l’Eternel et de son Prophète (Qsssl) pour ce qui est du respect des droits humains reportaient à n’en plus finir les procès, dans l’espoir de voir ces juges être mutés entre-temps..
Aujourd’hui, le soleil s’est enfin levé sur toutes les cours du pays et particulièrement Tipasa. Au début du week-end, à Tipasa, vers les neuf heures, il y avait un monde fou parce que deux audiences dont une criminelle, avaient drainé les parties en présence. Sereins après avoir vu les juges du siège, en l’occurrence Yamina Ammi et Faïza Hadjadj, heureuses transfuges de la cour de Boumerdès, les avocats dont Maître Mehdi Nouas, Bouchra Rassoul, Djillali Aouam, Djamel Boulefrad, Radhouane Nouas, Nassima Aïd, Farid Adli, Djillali Hamani, Tahar Sidoumou, vaquent à leurs plaidoiries sereinement.

De Quoi j'me Mêle

Placeholder

Découvrez toutes les anciennes éditions de votre journal préféré