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Un procès qui a des...

Le procès qui résonne encore des échos dans les couloirs du Palais de justice d'Alger, des voix de Hamel et de sa famille, concernant les scandaleux délits d'avantages indus obtenus grâce au titre de la Dgsn, ce puissant appareil qui se met hors-la-loi lorsque son patron se comporte en véritable chef de bande craint et obéi au doigt et à l'oeil.
La présidente de la section correctionnelle du tribunal de Sidi- M'Hamed-Alger a très bien préparé son audience en prenant soin de savoir poser les bonnes questions aux inculpés
(L'ex-Dgsn, Abdelghani Hamel, son épouse Salima Laànani Hamel, ses fils Chafik, Amiar, Mourad et Chahinez qui semblent s'être très bien préparés pour les douloureux débats, mais la maestria de la juge unique l'empêchera d'aller au fond de son entreprise mafieuse.
«A 22 ans, elle possède déjà une fortune d'un cadre qui a derrière lui trente ans d'ancienneté, et encore faudra-t-il pour ce même cadre, qu'il se passe de tenues
«chic», de tabac, d'alcool et de voyages, durant toute sa vie!», commente un curieux qui a suivi tous les procès tenus jusqu'ici et estomaqué par cette famille qui s'est comportée d'une manière honteuse avec les biens publics. Evidemment, ces personnes n'auraient rien eu sans la honteuse complaisance de pseudo-serviteurs de l'Etat, genre le sieur Mohamed Réhaimia, l'ex-puissant et intouchable directeur des Opgi de Blida et Hussein Dey (Alger).
Le comble, c'est cette propension de la famille Hamel à vouloir se servir dans plusieurs wilayas, comme si ces wilayas étaient des butins de guerre à partager en... famille!
Abus de pouvoir, vous avez dit?

De Quoi j'me Mêle

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