{{ temperature }}° C / {{ description }}

Cité introuvable.

Il a résilié son contrat, jeudi dernier

Allik met fin à son aventure avec le CRB

C’est désormais officiel : Saïd Allik ne fait plus partie du staff dirigeant du CR Belouizdad. Jeudi, il a signé la résiliation de son contrat de directeur sportif avec les Belouizdadis, mettant fin à une aventure qui a duré une année.

Jeudi dernier, Saïd Allik a rencontré le P-DG du groupe Madar-Holding, actionnaire majoritaire de la SSPA/CRB. L’occasion pour les deux hommes de passer en revue tout ce qui s’est passé durant les deux dernières semaines et mettre un terme à toute la polémique qui a suivi. Au final, Saïd Allik a fini par résilier son contrat contre une indemnité de quatre mensualités, contrairement à ce qui a été mentionné dans son contrat, où, le cas échéant, il devait être payé jusqu’à son terme. Amara et Allik ont mis les choses au clair durant ce conclave et la conclusion est que la cohabitation entre les deux hommes est devenue impossible. Mieux vaut, donc, pour les deux parties de mettre un terme à cette collaboration. Selon ses proches, Allik a fait savoir à son interlocuteur que « ceux qui sont en train de le conseiller vont mener le club à la dérive ». Il a pointé du doigt deux personnes, à savoir Hachichi, ainsi que le directeur sportif des jeunes catégories, Boualem Charef. Mais Amara a été clair en indiquant qu’il est le seul décideur et que personne ne peut influer sur ses décisions. Allik ne va certainement pas s’arrêter là. Toujours selon ses proches, la manière avec laquelle il a été poussé vers la sortie lui est restée en travers de la gorge, puisqu’il refuse qu’on salisse sa réputation. Pour cela, il compte organiser une conférence de presse dans les jours à venir, le temps de préparer un rapport détaillé sur ce qu’il a réalisé, sur le plan sportif et administratif, depuis qu’il a pris ses fonctions, il y a une année de cela. Durant ce rendez-vous avec les médias, Allik, dit-on encore, va tirer tout au clair, à commencer par son conflit avec des parties internes au sein du club, le recrutement, la masse salariale, le cas de l’entraîneur Abdelkader Amrani et tant d’autres dossiers chauds. Si cela va, peut-être servir à Allik pour sauver sa face et remettre la balle dans le camp du groupe Madar-Hoding et son P-DG Charaf Edine Amara, il ne va certainement pas régler les affaires du CRB. Ceci, étant donné que des révélations comme celles que comptent faire Allik vont certainement ouvrir une brèche qu’il sera difficile de refermer ensuite. De plus, la signature de l’ancien président emblématique de la résiliation de son contrat avec les Belouizdadis ne risque pas de signer la fin de cette série de problèmes, qui, à vrai dire, ne vient que de commencer.

De Quoi j'me Mêle

Placeholder

Découvrez toutes les anciennes éditions de votre journal préféré