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L'ONG «Open Society» de Georges Soros de plus en plus accablé en Europe

Les critiques s’enchainent en Europe à l’égard de l’"Open Society" du milliardaire américano-hongrois, George Soros, déjà accablé, il y a six mois, par un rapport démontrant la mainmise de son réseau d'ONG sur les institutions européennes.

Le financier d'origine hongroise, Georges Soros qui s'est fait une image de bienfaiteur, alors qu'il fut derrière le financement des révolutions colorée en Europe de l'Est et même celles du "printemps arabe"  est de plus en plus décrié pour avoir infiltré des institutions européennes.

Dans une récente interview accordée au magazine "Valeurs Actuelles", Grégor Puppinck, directeur de l'European Center for Law and Justice (ECLJ), a déclaré que le Conseil de l’Europe, dont dépend la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH), a été financé par l’Open Society foundations (OSF) et Microsoft de Bill Gates.

Se basant sur les rapports financiers annuels de l'organisation , Puppinck, a révélé que l’Open Society et Microsoft sont les deux plus gros donateurs privés de l’organisation intergouvernementale. Ces deux sociétés ont donné respectivement au Conseil de l’Europe près de 1,4 million d'euros entre 2004 et 2013 et près de 690.000 entre 2006 et 2014.    

Ces organisations sont donc "vulnérables aux milliardaires philanthropes qui cherchent à exercer une influence politique globale", selon le responsable de l’ECLG. Cette influence politique peut s’exercer, d'après lui, "sans aucun recours aux mécanismes et aux contrôles démocratiques".Grégor Puppinck, a affirmé que son rapport sur l’emprise des ONG de Soros sur la CEDH, "a eu un énorme impact en Europe et dans le monde, plusieurs gouvernements et de nombreux responsable politiques s’en sont saisi. C’est le cas notamment de la Russie et de la Bulgarie", a-t-il précisé.

"J’ai le sentiment que l’opinion publique est à présent informée et sensibilisée.

Ce rapport prouve qu’au cours des dix dernières années, parmi les 100 juges permanents qu'a compté la Cour, 22 sont issus de sept ONG actives auprès de cette même Cour, et que 18 d’entre eux ont siégé dans des affaires impliquant " leur" ONG, en violation des règles élémentaires de la déontologie judiciaire.

Parmi ces sept ONG, le réseau Open Society se distingue par le nombre de juges qui lui sont liés (12) et par le fait qu'il finance les six autres organisations citées dans le rapport.

Soros, "le maître des marionnettes"

En février, l’homme politique français, Philippe de Villiers, auteur d’un chapitre sur le fondateur de l’Open Society Foundations (OSF) dans son dernier livre-enquête sur les pères fondateurs de l’Union européenne, a salué le courage du lanceur d’alerte Grégor Puppinck et dénonce le pouvoir de l’OSF, aujourd’hui "plus puissante qu’un pays comme la France".

D’ailleurs, le surnom qui est donné à Soros à Bruxelles est éloquent : "le maître des marionnettes", a-t-il confié au même magazine.

Le rapport de Grégor Puppinck, est d’"un courage inouï". En effet, "ce rapport s’attaque à une forteresse que personne en Europe ni dans le monde n’ose attaquer ou même approcher d’un seul battement de l’aile ", a-t-il dit.

Lors d’un autre entretien à Sud Radio, de Villiers a révélé que " 200 députés européens sont sous la main de Soros. George Soros est un spéculateur qui se fait passer pour un bienfaiteur".

Dimanche, un responsable culturel hongrois cité par Sputnik, a déclenché l’indignation après avoir publié un article sur le site Origo -dont le lien n’est plus actif- où il a comparé le milliardaire et philanthrope américano-hongrois George Soros à Hitler.

"L'Europe est devenue la chambre à gaz de George Soros. Le gaz toxique s’écoule de la cartouche d'une société ouverte multiculturelle, ce qui est mortel pour le mode de vie européen", a indiqué Szilard Demeter, commissaire à la Culture du gouvernement hongrois et directeur du Musée littéraire Petofi à Budapest, cité par Associated Press. Szilard Demeter a également affirmé que George Soros était " le Führer libéral".

En effet, la Hongrie et la Pologne sont actuellement opposées à Bruxelles dans des discussions portant sur l’Etat de droit.

Le premier rapport sur le respect de l'Etat de droit dans les pays de l'UE présenté fin septembre par la Commission européenne s'est avéré très critique pour la Hongrie et la Pologne , deux pays où les conséquences des réformes de la justice suscitent de "vives inquiétudes".

Les Etats membres ont approuvé un dispositif pour conditionner le versement de fonds européens au respect de l'Etat de droit, une première dans l'UE. La Hongrie et la Pologne ont voté contre.

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