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Après le camouflet subi par Boris Johnson au Parlement

La crise du Brexit est relancée

A 11 jours de la date-butoir du Brexit, Boris Johnson est obligé de revoir ses plans, après avoir été contraint par son Parlement de demander un report du divorce tout en martelant ne pas en vouloir. La journée de samedi, avec un vote prévu sur l’accord annoncé triomphalement à Bruxelles deux jours plus tôt, devait enfin apporter une clarification après plus de trois ans de saga suivant le référendum de 2016. Bilan: la décision est repoussée et les Européens se retrouvaient hier matin, avec trois lettres disant tout et son contraire, moins de deux semaines pour éviter une sortie sans accord qui donne des sueurs froides aux milieux économiques. La première lettre, non signée, demande une prolongation de trois mois, a indiqué Downing Street. La deuxième, signée du Premier ministre britannique, dit qu’il ne veut pas de ce délai. Et la troisième, de l’ambassadeur britannique auprès de l’UE, Tim Barrow, précise que le report n’a été demandé que pour se plier à la loi. «Je vais commencer à consulter les dirigeants de l’UE sur la manière de réagir», a indiqué le président du Conseil européen Donald Tusk.

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