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Syrie

Trump : «Des soldats américains resteront pour le pétrole»

Donald Trump a annoncé lundi qu’il restait un «petit» nombre de soldats américains en Syrie, alors que les troupes quittaient le nord-est du pays, comme prévu. Le président des états-Unis a précisé que ces soldats se trouvaient dans «une partie totalement différente de la Syrie», près de la Jordanie et d’Israël, tandis que d’autres étaient déployés pour «protéger le pétrole», c’est-à-dire à proximité de l’Irak. «J’ai toujours dit, ‘’si on y va, gardons le pétrole’’», a déclaré, lundi, Donald Trump à la Maison- Blanche. Les états-Unis pourraient «peut-être envoyer l’une de leurs grandes compagnies pétrolières pour le faire correctement», a-t-il suggéré. Une idée vite rejetée par l’ancien envoyé spécial de la présidence américaine auprès de la coalition luttant contre le groupe terroriste autoproclamé Etat islamique (EI/Daech), Brett McGurk, qui a souligné que ce serait «illégal».»Nous ne pouvons pas exploiter ces ressources pétrolières, à moins de devenir des contrebandiers», a indiqué l’ancien diplomate, qui a démissionné de ses fonctions en décembre 2018 lorsque Trump a, pour la première fois, évoqué un retrait de Syrie. Le pétrole syrien appartient à une société pétrolière publique, «qu’on le veuille ou non», a rappelé M. McGurk.»Cela ne veut pas dire que les FDS ne peuvent pas l’exploiter et en tirer des revenus, mais c’est de la contrebande», a-t-il ajouté. Lors d’une visite à Kaboul, lundi, le chef du Pentagone, Mark Esper, a aussi laissé entendre que les états-Unis pourraient laisser une force résiduelle en Syrie afin d’y sécuriser les champs de pétrole.

Donald Trump a annoncé lundi qu’il restait un «petit» nombre de soldats américains en Syrie, alors que les troupes quittaient le nord-est du pays, comme prévu. Le président des états-Unis a précisé que ces soldats se trouvaient dans «une partie totalement différente de la Syrie», près de la Jordanie et d’Israël, tandis que d’autres étaient déployés pour «protéger le pétrole», c’est-à-dire à proximité de l’Irak. «J’ai toujours dit, ‘’si on y va, gardons le pétrole’’», a déclaré, lundi, Donald Trump à la Maison- Blanche. Les états-Unis pourraient «peut-être envoyer l’une de leurs grandes compagnies pétrolières pour le faire correctement», a-t-il suggéré. Une idée vite rejetée par l’ancien envoyé spécial de la présidence américaine auprès de la coalition luttant contre le groupe terroriste autoproclamé Etat islamique (EI/Daech), Brett McGurk, qui a souligné que ce serait «illégal».»Nous ne pouvons pas exploiter ces ressources pétrolières, à moins de devenir des contrebandiers», a indiqué l’ancien diplomate, qui a démissionné de ses fonctions en décembre 2018 lorsque Trump a, pour la première fois, évoqué un retrait de Syrie. Le pétrole syrien appartient à une société pétrolière publique, «qu’on le veuille ou non», a rappelé M. McGurk.»Cela ne veut pas dire que les FDS ne peuvent pas l’exploiter et en tirer des revenus, mais c’est de la contrebande», a-t-il ajouté. Lors d’une visite à Kaboul, lundi, le chef du Pentagone, Mark Esper, a aussi laissé entendre que les états-Unis pourraient laisser une force résiduelle en Syrie afin d’y sécuriser les champs de pétrole.

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