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Tout en rappelant l’urgence d’une sortie de crise (vidéo)

Benflis : «Voilà comment on récupérera l’argent volé»

Le président du parti Talaie El Houriyet à voulu tenir un discours sincère devant ces spécialistes en insistant sur le fait qu’il ne fera pas dans le populisme ou les promesses sans lendemain.

Ali Benflis à la rencontre des experts. Le candidat à la présidentielle du 12 décembre prochain était, ce matin, l’invité du forum du journal El Hiwar pour répondre aux questions des experts nationaux. Avec sa poigne et son franc-parler, il a de nouveau fait forte impression. D’emblée, il souligne que le pouvoir ne l’intéresse pas. « Je suis là pour servir les Algériens », a-t-il soutenu. « Ma candidature s’est faite par fidélité à ma patrie. Je n’ai pas l’habitude de tourner le dos à mes responsabilités », a-t-il soutenu. Le président du parti Talaie El Houriyet a voulu tenir un discours sincère devant ces spécialistes. Il a, dans ce sens, rappelé que l’État était en péril. « On ne doit apporter des solutions urgentes pour éviter le chaos », a-t-il insisté en mettant en avant le fait qu’il était contre le populisme et les fausses promesses. « Je suis de ceux qui font le bilan et donnent des solutions concrètes », précise-t-il. Ali Benflis n’omet pas de rappeler les dégâts qu’a engendrés la gestion chaotique sous l’ère Boutefika, ainsi que ceux de la corruption qui gangrenait le pays. Il promet de récupérer l’argent volé par les prédateurs de la République. Ce juriste affirme qu’il a un plan : « Que ce soit pour l’argent caché en Algérie où celui à l’étranger, j’ai un plan pour le récupérer », atteste-t-il. « Le droit international propose des articles de lois pour récupérer cet argent. Nous allons y recourir tout en faisant un travail diplomatique afin de convaincre les pays avec lesquelles nous lient des conventions internationales de coopérer », révèle-t-il avant de donner plusieurs autres possibilités dont la dernière est de recourir à des cabinets internationaux spécialisés dans le domaine. « Les solutions existent, nous allons récupérer cet argent », promet-il. Enfin, l’opposant historique à l’ex-chef de l’État, Abdelaziz Bouteflika, reconnaît qu’une partie des Algériens est contre la présidentielle. « Je n’ai pas de baguette magique pour leur faire changer d’avis mais je tâcherai de les convaincre en exposant les dangers qui guettent le pays et surtout mon programme de sortie de crise », a-t-il conclu sous un tonnerre d’applaudissements.          

 

 

 

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