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Scolarisation des enfants de la diaspora nationale

Boukadoum rassure

«Une forte demande de la communauté algérienne, qui sera prise en charge conjointement par le ministère de l’Education et celui des Affaires étrangères.»

«Nous avons enregistré un volume très important de demandes d’inscription, de la part d’Algériens résidents, et même ceux qui ont la nationalité française, au seul établissement secondaire algérien, à l’étranger, précisément en France à Paris, qui a reçu tous les documents et les livres. Une forte demande de la communauté algérienne, et qui sera prise en charge conjointement par le ministère de l’Education et celui des Affaires étrangères, où toutes les conditions favorables seront mises en place pour la réussite de cette rentrée», a tenu à préciser le ministre des Affaires étrangères, Sabri Boukadoum, lors de sa visite dans la wilaya de Tipasa, où il a procédé à l’ouverture de la saison scolaire 2019-2020. Un message qui tend à rassurer la communauté algérienne établie en France, notamment dans la capitale, où les élèves des différents cycles ont rejoint leurs classes à partir du 2 septembre.
Par ailleurs, en guise de message d’ouverture de cette saison, le chef de la diplomatie algérienne, Sabri Boukadoum, a tenu à souligner à partir de l’établissement d’enseignement moyen Djelloul Kerboub, où il a assisté au cours inaugural, que «les étapes qui viendront ne doivent pas toucher les enfants, tout ce qui doit être fait, c’est pour eux, ils sont le présent et l’avenir du pays».
Revenant sur l’importance que représente l’instruction l’apprentissage des valeurs aux enfants de la nation, Sabri Boukadoum explique que «la rentrée scolaire est une étape importante dans la vie d’une nation, qui touche le citoyen directement.
Il est important que tout se passe bien, nos élèves sont non seulement l’avenir, mais le présent de l’Algérie car l’école est le miroir de la société. Si tout marche bien dans l’école, tout le reste marchera aussi» avant d’ajouter qu’«il est important de préserver l’avenir de nos enfants, il ne faut pas briser le pays qui reste à construire.
Il reste beaucoup à faire, et grâce à l’union de toutes les bonnes volontés, que ce soit les enseignants, l’encadrement, les administratifs, la sécurité, les enfants vont pouvoir trouver les moyens d’étudier.
Il est donc absolument important que cela se passe bien, que les enfants puissent aller à l’école, qu’ils puissent construire leur avenir dans le sérénité et la paix».

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