{{ temperature }}° C / {{ description }}

Cité introuvable.

Zones d’ombre

Brahim Merad fait le constat

La promotion des zones d’ombre, leur mise à niveau et la prise en charge des préoccupations de leur population restent le souci des hautes autorités de l’Etat.

S’agissant de fixer les habitants dans leur région d’origine, créer des activités productives et d’améliorer leur cadre de vie, ce déplacement a été l’occasion d’aborder la question de la prise en charge des préoccupations urgentes et nécessaires des populations en matière d’AEP, énergie, désenclavement, promotion des conditions de scolarisation et de transport.
Le conseiller du président de la République insistera sans doute sur l’impératif d’assurer une mise à niveau du cadre de vie des habitants des zones d’ombre et la mise en place des conditions et mécanismes. Brahim Merad, lors de sa visite de travail à Imoula, première halte de ce périple, a donné le coup d’envoi de la refonte de quatre salles de classes dans cette commune, qui fait partie des zones d’ombre recensées par les services de la wilaya de Béjaïa. il a été question de l’assainissement au village Boufenden. À Boudjellil, le projet d’assainissement du village Ichou a été inspecté. À Beni Melikèche, ce sont deux projets d’axes routiers desservant deux villages qui ont été lancés. À Tifra, le conseiller du président à inauguré un réservoir d’alimentation en eu potable des villageois. Dans cette région de Béjaïa, plus de 600 projets sont inscrits dans le cadre des opérations de désenclavement des quelque 499 zones d’ombre recensées. 142 projets ont été déjà lancés au niveau des différentes localités. Plus de 499 zones d’ombre dans les régions enclavées, à travers le territoire de la wilaya, ont été identifiées à l’effet de cerner réellement les besoins de développement. Autant de régions nécessitant d’être secourues, et dans l’urgence. Situées aux quatre coins de la wilaya de Béjaïa, ces localités, qu’on appelle désormais « zones d’ombre » dans le discours officiel, ont été recensées à la faveur d’une opération lancée par les services de la wilaya.
Dans l’optique de maintenir la population sur place, la prise en charge des routes, de l’’eau, des écoles et de simples salles de soins et, pourquoi pas, de projets créateurs de richesse et d’emplois, sont perçus comme une priorité de l’heure. Éprouvée par des projets de développement quasiment à l’arrêt dans les conditions de cette crise sanitaire du coronavirus, la wilaya de Béjaïa se
retrouve ainsi face à un autre défi, celui d’accompagner les secours à organiser en direction de ces zones.

De Quoi j'me Mêle

Placeholder

Découvrez toutes les anciennes éditions de votre journal préféré