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Premier jour du procès des hauts cadres de l’Etat (vidéo)

Ce qu’a répondu Ouyahia au juge

Ouyahia a en, outre, affirmé que son fils avait une petite entreprise issue de l’Ansej…

Le procès dit de la « Issaba » s’est ouvert, ce matin, au tribunal de Sidi M’hamed ( Alger). Alors que des centaines de manifestants s’étaient rassemblés devant le tribunal de la capitale, Ahmed Ouyahia a été le premier à être entendu par le juge d’instruction. L’ex-Premier ministre, a, tout simplement, réclamé l’application de l’article 177 de la Constitution. Celui-ci stipule qu’ « il est institué une Haute Cour de l’Etat pour connaître des actes pouvant être qualifiés de haute trahison du Président de la République, des crimes et délits du Premier ministre, commis dans l’exercice de leur fonction ». Après le refus du magistrat, Ouayahia a accepté de répondre aux questions. D’emblée, Ouyhaia affirme que sa « femme n’a jamais eu d’entreprise en son nom ». Il va encore plus loin en soutenant que  son fils possédait une PME issue de …l’Ansej. « C’est une toute petite entreprise », a-t-il indiqué. Le juge lui demande ensuite la source de son argent, et pourquoi il avait caché deux comptes en banque. « Mon compte au CPA a un avoir de 15 000 DA », rétorque t-il. Le juge lui fait savoir qu’il y a avait un mouvement de 30 milliards de centimes en trois ans. Selon Ouyahia : « Cela n’avait rien à voir avec a mon activité de commis de l’Etat, c’est pour cela que je ne les ai pas déclarés ». Pour ce qui est des indus avantages donnés à certains concessionnaires dans le cadre de l’industrie de montage automobile, Ouyahia réplique que le décision a été prise par la Conseil national de l’investissement qui compte 11 ministres. « Ce n’est pas une décision individuelle », a –t-il répondu. La suite dans la vidéo…

 

 

    

 

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