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Premières déclarations

Ce qu’ils ont dit après leurs qualifications

La régularité du scrutin et la deuxième République sont le dénominateur commun.

Les cinq candidats à la candidature retenus par l’Anie pour concourir à la magistrature suprême lors de la prochaine élection présidentielle, se sont tous exprimés à l’issue des résultats annoncés par le président de l’Anie, Mohamed Charfi. Ali Benflis a souligné le caractère historique de l’instant et souligné l’indépendance de l’Anie, donc la solidité du processus électoral en cours. L’ancien chef du gouvernement a profité de sa première prise de parole en sa qualité de candidat à la présidentielle du 12 décembre 2019 pour mettre en avant l’importance du prochain scrutin et appelé les Algériens à se rendre en masse pour donner un maximum de légitimité au nouveau président de la République. Visiblement confiant de la régularité de l’élection, Ali Benflis a souligné dans une déclaration à la télévision Enahar, la nécessité pour le pays de faire du prochain scrutin un acte fondateur de la deuxième République. La deuxième République est également l’objectif du candidat Tebboune qui, dans une conférence de presse organisée au niveau de sa permanence électorale, a promis que s’il était élu, il bannira de son lexique le mot exclusion. Il a défendu le principe du vote comme l’un des piliers essentiels de toute démocratie. Il dira à ceux qui lui rappellent ses fonctions dans la haute administration de l’Etat, qu’il était algérien au même titre que tous les citoyens et qu’il a donc le droit de se présenter au suffrage du peuple. Et c’est à ce dernier de décider.
Quant à Azzeddine Mihoubi, dont la qualification ne signifie pas grand-chose, aux yeux des observateurs, il a défendu sa candidature et promis d’aller au-devant des électeurs, considérant qu’il avait les mêmes chances que les autres candidats de remporter le scrutin du 12 décembre prochain.
Dans une déclaration à la télévision Ennahar, le secrétaire général par intérim du RND s’est dit confiant quant à l’honnêteté du processus et affirmé défendre un programme électoral orienté principalement en direction des jeunes.
Abdelaziz Belaïd, dont c’est la seconde expérience électorale à ce niveau, et également «petit poussin» du scrutin, a affiché sa satisfaction quant au déroulement des premières phases du processus électoral. Mettant en exergue l’ancrage populaire de son parti, le Front El Moustakbel et la réussite de la campagne de collecte des parrainages de citoyens, Belaïd a affirmé jouer la carte de la jeunesse. Avec le franc-parler qu’on lui connaît, il a mis sa participation au scrutin sur sa volonté de sauver la République d’une grave dérive. Cette présidentielle est vitale pour l’avenir de la nation, dira-t-il.
Le seul candidat islamiste du lot, Abdelkader Bengrina, a mis en avant son programme électoral qui, souligne-t-il, répond à tous les questionnements des citoyens. Pragmatique, l’homme est déjà en campagne et les promesses, il en a beaucoup…

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