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Démarrage sur les chapeaux de roue

La mobilisation, voire la vigilance des enfants de la même patrie pour pouvoir contrecarrer tout ce qui guette l'Algérie et son peuple.

Salah Goudjil, président du Sénat: «Suivez les pas de vos aïeux»
Dans le souci de faire ressortir les effets novateurs de la révision de la Constitution, et son impact sur la vie des citoyens, le président du Conseil de la nation par intérim, Salah Goudjil, a exhorté les sénateurs à «remplir leur rôle dans l'explication de la teneur des amendements introduits dans la nouvelle Constitution visant à construire la nouvelle République qui répond aux aspirations et aux attentes du peuple».
Rappelant avec force, l'importance de se rattacher à l'histoire du pays, Goudjil fait appel au patriotisme des Algériens, «Votre pays, l'Algérie appelle ses enfants vaillants.
Et je demeure confiant en votre clairvoyance et que vous allez faire preuve de bonne foi. Suivez les pas de vos aïeux parmi les chouhada et moudjahidine et répondez à l'appel de la meilleure manière.» «La mobilisation, voire la vigilance des enfants de la même patrie pour pouvoir contrecarrer tout ce qui guette l'Algérie et son peuple. L'Algérie vit, à l'aune de la campagne électorale, de bons augures annonçant la construction de la nouvelle République sous la présidence de Abdelmadjid Tebboune, président de la République.»


Filali Ghouini en totale rupture avec la sphère islamique
Fidèle à ses positions depuis le début du processus constitutionnel, le président du mouvement El Islah, Filali Ghouini, a estimé à partir de Bouira que la révision de la Constitution est «nécessaire et indispensable pour aller vers l'amendement de la Constitution afin de mettre un terme à l'ancien système et adopter une nouvelle Constitution qui ouvrira les portes vers un avenir meilleur pour le pays».
Se détachant des arguments de l'opposition de la mouvance islamique, Filali Ghouini remet en avant les principes de sa formation en précisant que son «parti n'a aucun souci pour les articles relatifs à l'identité nationale, dont la constitutionnalisation de la langue amazighe», tout en se disant satisfait des amendements apportés, qui mèneront l'Algérie vers de nouveaux horizons.
La nouveauté dans cet amendement constitutionnel est «la garantie contenue dans des articles qui obligent toutes les institutions de l'Etat à respecter le dossier des droits et libertés». Cette garantie s'est vite traduite par les facilitations administratives accordées aux citoyens pour créer des associations.
«La création d'un observatoire national de la société civile comme organe consultatif placé auprès du président de la République pour faire participer la société civile dans la prise de décision, est un autre élément qui renforce cette garantie.»


Le PRA réaffirme l'engagement de son parti
S'exprimant à partir de Chlef, Kamel Bensalem, réitère la position de sa formation et l'importance d'une mobilisation pour faire aboutir le projet de révision de la Constitution, affirmant que «la participation à cette consultation électorale contribue à la poursuite de l'édification de l'Etat et produit un changement effectif par le vote pour faire barrage aux porteurs de messages négatifs». Soulignant que «l'édification de la nouvelle Algérie commence par un amendement constitutionnel à la hauteur des aspirations et aux revendications des Algériens. Le projet d'amendement soumis à référendum, est la première assise pour l'édification d'un Etat avec des institutions fortes et pour produire une rupture définitive avec les anciennes pratiques négatives dont la bureaucratie, le pillage et la corruption».


L'Andh convaincue de la mobilisationdes Algériens
Sans l‘ombre d'un doute, le président de l'Association nationale des droits de l'homme, Abdelkader Benmoussa, marque à partir de Mostaganem, la position de son association, prédisant que «Le peuple algérien sera au rendez-vous le 1er novembre prochain, étape charnière susceptible de permettre d'opérer le changement.
Le référendum sur le projet de révision de la Constitution exprime la volonté populaire et réaffirme que le peuple algérien est la source de tous les pouvoirs, ce rendez-vous est le premier jalon de l'Algérie moderne quel que soit le résultat du référendum, ce qui met la société devant une grande responsabilité pour opérer le changement et la rupture avec les pratiques du passé, ainsi que la mise en place des garanties et des mécanismes de contrôle permettant à la nation d'être à l'abri des soubresauts et des plans ourdis contre le pays».

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