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Pollution des nappes phréatiques

Guerre aux pesticides

Le ministre a révélé que le projet de la nouvelle loi sur l’eau, a prévu la mise en place des réserves écologiques au niveau des barrages. Objectif : protéger nos ressources souterraines et conserver les écosystèmes et la diversité biologique des zones concernées.

Le dossier de la pollution de l'eau, par les pesticides et les engrais chimiques utilisés dans l'agriculture, est pris très au sérieux par le ministre des Ressources en eau, Arezki Berraki. L'enfant du secteur, qui prépare une nouvelle loi consacrant ce volet, a, pas plus tard qu'avant-hier, effectué une visite sur le terrain pour le lancement des activités d'une ferme pilotes agro-écologique, près du barrage réservoir de Douéra, au sud-ouest d'Alger.
Le projet de ladite ferme a été lancé en marge de la signature d'une convention qu'il a signée avec l'association Torba qui active dans le domaine.
Le ministre, a durant son allocution prononcée à cette occasion, exprimé la volonté de son département «à soutenir des projets allant dans le même sens».
Il a également tenu à expliquer que
«les espaces réservés par son secteur pour l'association «Torba» utiliseront l'eau du barrage, ce qui profitera aux ressources en eau et permettra le développement d'une agriculture durable dans un contexte environnemental caractérisé par le problème de la rareté de l'eau. S'exprimant lors de ladite cérémonie, le conseiller du président de la République, chargé du mouvement associatif et de la communauté nationale à l'étranger, Nazih Berramdane, a, pour sa part, mis l'accent sur «le rôle de la société civile dans la promotion d'une agriculture durable et environnementale, à travers l'implication du citoyen dans de tels projets». Cela avant de déclarer que «le but de ces activités est de préserver la santé du citoyen en protégeant son environnement».
Le président de l'association Torba, Karim Rahal, a, de son côté, souligné que «le projet de cette ferme, qui occupera une superficie de deux hectares, dans un premier temps, allouera plus d'espace à la culture de légumes et d'arbres fruitiers, qui profiteront à la population locale».
Notons enfin que le collectif Torba est né en 2014. L'association agro-écologique reçoit ses adhérents au Fayet Club à Alger, chaque vendredi, pour les former dans l'agriculture biologique.
Leur travail ne s'arrête pas là. Ses adhérents participent, à leur tour, à sensibiliser le grand public à vivre sur le respect de la terre, de la nature et de l'environnement.

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