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Carnet de campagne / Bengrina à Alger

L’union fait la force

«Promouvoir la langue arabe et la langue anglaise ne signifie nullement se refermer sur nous-même.»

à deux jours de la fin de la campagne présidentielle, AbdelKader Bengrina a animé un meeting populaire à la Coupole du complexe olympique Mohamed-Boudiaf, à Alger. Le candidat à l’élection présidentielle du 12 décembre prochain a profité de cette occasion pour réitérer ses engagements et réaffirmer ses positions. Au lendemain du grand débat, Bengrina semblait en forme. Et surtout sûr de son programme électoral. Il s’étale sur son projet social pour «l’Algérie nouvelle». Insistant sur le fait que la construction de cette nouvelle Algérie est possible avec l’élection d’un nouveau président, il affirme : «Nous rêvons tous de l’Algérie nouvelle, et sa construction commencera le 12 décembre.»
Saisissant ainsi l’occasion d’exhorter les gens à maintenir le caractère pacifique du paysage politique national, il souligne : « Nous sommes dans un tournant historique, l’ensemble des Algériens doit faire preuve de civisme, nous ne devons pas faire appel à la violence sous aucun prétexte.
Chacun est libre de choisir, et chacun doit respecter l’avis et le choix de l’Autre. On ne peut se permettre de jouer avec la sécurité de notre pays.»
Revenant à son programme électoral, le candidat d’El Bina El Watani affirme qu’il a réfléchi pour «renforcer la cohésion sociale». Il promet d’en finir avec toute forme de marginalisation sociale et ou culturelle. « Je me réfère dans ma pensée et ma stratégie politique à la déclaration du 1er Novembre, j’appartiens à l’école des réformateurs. Je me refère à l’islam et aux grands noms de cette belle religion qui est la nôtre, telle que Oqba Ibn Nafi.
D’ailleurs si je suis élu président, la Grande mosquée d’Alger portera le nom du grand héros des conquêtes islamiques» a-t-il avancé.
L’ex-ministre du Tourisme a, en outre, insisté lors de son allocution sur la nécessité de revenir aux «valeurs fondamentales» du peuple algérien. Valeurs qui, selon le candidat à la magistrature suprême du pays, se concrétisent dans la prise de conscience de «l’avenir commun». «Depuis le 22 février nous avons fait le choix d’écrire une nouvelle page de notre histoire, et aujourd’hui nous devons prendre conscience que la construction de la nouvelle Algérie doit se faire dans le respect des valeurs communes de notre peuple, tout en ayant conscience que notre avenir est commun», formule le candidat. Et d’ajouter : «Notre langue est la langue arabe, mais en aucun cas on ne doit négliger les dialectes parlés un peu partout sur le territoire national.»

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