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Cela fait presque une semaine que la tendance est à la baisse

La décrue des contaminations continue

Le nombre de contaminations est en baisse depuis maintenant presque une semaine. Après avoir atteint, les 1085 personnes infectées jeudi dernier, le pays a recensé durant les dernières 24 heures, 932 nouveaux cas confirmés. Cette diminution du nombre de l’ensemble des cas touchés par le Covid-19 pourrait ainsi être due au contrôle de la situation, grâce aux mesures préventives prises le 10 novembre dernier par les pouvoirs publics.
Grâce à la discipline dont ont fait montre les citoyens, à travers un respect quasi parfait des mesures de prévention, l’épidémie est visiblement en recul. C’est dire que l’effort collectif semble avoir payé.
Le nouveau bilan montre, à première vue, que le ralentissement de l’épidémie n’a pas touché les patients ayant développé des formes sévères. 17 nouveaux décès ont été enregistrés durant les dernières 24 heures.
Doit-on s’inquiéter face à ce nombre de décès, qui paraît élevé?
La réalité, sur le terrain, n’est pas si alarmante. Il faut savoir que pour les spécialistes, les décès quotidiens constituent un indicateur important, à même d’évaluer objectivement l’efficacité de la lutte contre la pandémie, tant à l’échelle médicale que sociale. Ce qui préoccupe présentement les membres du Conseil scientifique, c’est la corrélation entre les contaminations et les décès, que présente la courbe épidémique algérienne. Une observation de ces deux indices sur une période de plusieurs jours permet de conclure si vraiment la pandémie est en baisse, sur tous les tableaux.
Le bilan quotidien des décès «vu d’en haut» montre un autre écart qui serait «réconfortant». Nous sommes loin des bilans enregistrés dans les pays du pourtour méditerranéen, «encore très touchés» par le virus. De retour à notre situation épidémiologique, notons également qu’il y a de moins en moins de pression sur les hôpitaux. Côté médicaments, et à en croire l’Association des distributeurs pharmaceutiques algériens (Adpha), la problématique de la rareté n’est pas aussi grave qu’elles ne le paraît. Répondant aux accusations des syndicats des pharmaciens, concernant la rareté des médicaments, où les distributeurs sont pointés du doigt, l’Adpha explique que «la déclaration selon laquelle le nombre de médicaments manquants dépasse 300 est une exagération, car le nombre exact de médicaments manquants ne dépasse pas 100». 

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