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Le village aït oubane victime d'une polémique

La direction des affaires religieuses dément

Dans un communiqué rendu public, hier, la direction des affaires religieuses de la wilaya de Tizi Ouzou a mis un terme à une dangereuse polémique qui a marqué les dernières
48 heures qui ont vu les populations de la wilaya de Tizi Ouzou célébrer dans la joie le Nouvel An amazigh. Une campagne de dénonciation de l’utilisation des haut-parleurs de la mosquée du village Aït Ouabane, dans la commune d’Akbil, à Aïn El Hammam, est, en effet, largement relayée sur Facebook. Devant l‘évolution inquiétante de la situation, la direction des affaires religieuses de la wilaya de Tizi Ouzou est intervenue, hier, pour mettre un coup d‘arrêt à cette escalade de violence verbale à l‘égard des villageois, qui ont toujours sacralisé la mosquée, au point d’en construire, à leurs frais. Dans le même communiqué, la direction des affaires religieuses affirmait que ce qui a été rapporté, sur cette affaire, n’est qu’un mensonge. Celle-ci explique que le haut-parleur utilisé était placé non pas sur le minaret de la mosquée, mais sur une bâtisse mitoyenne utilisée par les villageois comme lieu de réunion de leur comité de village. Le communiqué de ladite direction explique, par ailleurs, que la mosquée est en chantier, pour des travaux de restauration pris en charge par les villageois d’Aït Ouabane et quelques bienfaiteurs. D’où la conclusion que la mosquée était fermée au moment du déroulement des célébrations du Nouvel An amazigh. La direction des affaires religieuses rappelle, en direction des initiateurs de cette campagne qui touche un village connu pour la sacralité de sa mosquée, qu’à Tizi Ouzou, les populations se sont toujours investies en efforts physiques et financiers pour la construction des mosquées. Preuve en est que, précise le communiqué, il y a actuellement quelque 230 mosquées en construction à travers plusieurs villages, grâce au même procédé de financement. De leur côté, devançant l’annonce de la DAR, les villageois d’Aït Ouabane se sont investis sur les réseaux sociaux pour expliquer les tenants et aboutissants de l’affaire.

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