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L’est et l’ouest se préparent à l’affrontement

La «guerre froide» des vaccins

L’objectif final ne sera pas la santé de l’humanité, mais la suprématie de l’un ou l’autre bloc.

La «guerre froide» des vaccins n'a pas encore véritablement éclaté, mais les indices d'un «conflit» inédit entre les blocs de l'Est et de l'Ouest se font persistants, à travers l'incroyable insistance de l'Occident à ignorer les résultats des recherches russes et chinoises sur le terrain des vaccins. En effet, les gouvernements occidentaux se sont quasi instinctivement tournés vers les produits de leurs laboratoires et, sans consulter leurs sociétés respectives, entamé l'opération de vaccination de masse en utilisant les vaccins américains et anglais. Malgré des informations récurrentes sur des ruptures de stock et une production insuffisante pour répondre au rythme pris par les opérations de vaccination, il n'est venu à l'esprit d'aucun responsable de s'adresser aux laboratoires russes ou chinois pour combler les déficits. Cette posture des Etats, rangés derrière les USA, ne relève pas du tout du bon sens, mais d'une arrière-pensée idéologique insinuant une «lutte à mort» entre les blocs de l'Ouest et de l'Est sur la question des vaccins.
En tenant leurs opinions publiques éloignées de toute information sur les vaccins russes et chinois, les gouvernements occidentaux refusent d'admettre la fin de leur suprématie scientifique d'un côté et de l'autre, craignent de voir ces mêmes opinions publiques reconnaître l'émergence d'autres pôles concurrentiels, sans être forcément hostiles. La bataille de l'opinion publique est loin d'être gagnée pour ces Etats, confrontés à leur grand échec dans la gestion de la pandémie et visiblement en mal d'inspiration sur les vaccinations.
En face, c'est-à-dire à l'Est, la situation est sous contrôle au plan épidémique et les opérations de vaccination vont bon train, avec en prime, des distributions de vaccins à de nombreux pays. Les gouvernements russes et chinois qui ne sont pas dans la difficile position de gérer un échec dans la gestion de la pandémie, abordent la phase vaccinale avec sérénité. Contrairement aux laboratoires américains qui ne fournissent que l'Europe, les russes et les chinois rayonnent sur toute l'Asie, l'Afrique et l'Amérique du Sud. Dans le sprint des vaccins, force est de constater que l'Est marque bien plus de points que l'Ouest.
Mais il ne faut pas croire que les deux blocs se suffiront d'une «bataille à distance». Il n'y a pas de gentil et de méchant dans cette «guerre froide». On en veut pour preuve que les premiers déboires de l'américain Phizer ne passent pas inaperçus et les attaques en ligne et sur les médias lourds, avec Fake News à l'appui, lanceront les premières salves. Il faut donc s'attendre à une riposte de la part de l'Ouest et l'on entendra certainement parler d'effets secondaires «monstrueux» des vaccins russes et chinois. La guerre va certainement se généraliser à toute la planète et l'objectif final ne sera pas la santé de l'humanité, mais la suprématie de l'un ou l'autre bloc. La guerre aura pour terrains privilégiés les pays consommateurs des vaccins. Dans les semaines à venir les «hostilités» risquent de prendre des dimensions dramatiques dans certaines sociétés. Les populations refuseront le vaccin que leur proposent leurs gouvernements respectifs au motif qu'il tue. Un échec de la vaccination dans les petits pays, avec tout ce que cela suppose comme conséquences sociale et économique, sera comptabilisé comme dommage collatéral...

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