{{ temperature }}° C / {{ description }}

Cité introuvable.

Accord commercial sino-américain incertain et hausse des stocks US

Le baril fait de la résistance

Les prix du Brent, référence du pétrole algérien, se négociaient pourtant à la hausse, hier, en cours d’échanges après avoir accusé une baisse significative.

Quelle direction prendront les cours de l’or noir ? Les paris sont ouverts. Le président américain est à la manœuvre. Le baril est mis sous pression. Donald Trump souffle le chaud et le froid. Les principales places boursières de la planète, Wall Street et les Bourses européennes sont attendues dans le rouge. L’or noir n’y a pas échappé aussi. La cause principale de cette déprime réside dans les propos tenus par le président américain concernant l’accord commercial sino-américain que l’on donnait comme imminent. L’apaisement sur le front de la guerre commerciale entre Pékin et Washington, qui esquissait un rebond durable des cours de l’or noir est à nouveau entouré d’incertitudes. «Ils (les Chinois) meurent d’envie de conclure un accord.
C’est nous qui déciderons si nous voulons ou non d’un accord», a déclaré mardi le locataire de la Maison-Blanche dit Trump. «Nous en sommes près. Un accord commercial significatif de Phase 1 avec la Chine pourrait se produire. Pourrait se produire bientôt. Mais nous n’accepterons un accord que s’il est bon pour les Etats-Unis, nos travailleurs et nos belles entreprises», a-t-il ajouté tout en critiquant la politique commerciale de l’Union européenne qu’il a accusé d’avoir érigé des barrières «terribles». «Les barrières (commerciales) qu’ils ont érigées sont terribles, terribles. Par bien des manières, pire que la Chine.» a tonné le successeur de Barack Obama. Qu’en pensent les analystes ? «La prestation de Trump mardi est apparue clairement comme une répétition de sa rhétorique habituelle et ses menaces de relèvement des droits de douane en l’absence d’accord ne sont pas vraiment nouvelles », constate Craig Erlam, chef analyste d’Oanda, Donald Trump est toujours sur le pied de guerre. Cela n’est guère rassurant pour l’économie mondiale. Ce qui impacte le marché pétrolier par ricochet. Les prix du Brent, référence du pétrole algérien, se négociaient à la baisse, hier, en cours d’échanges. Hier à Alger vers 15h10 le baril de Brent, référence pour le pétrole algérien, accusait un recul de 51 cents. Il s’échangeait à 61,55 dollars. La déception face à l’absence apparente de progrès récents dans les discussions commerciales entre Washington et Pékin favorise aussi le repli des cours du pétrole peut-on lire sur le site d’Investing.com, portail financier mondial. Le baril est mis de toute évidence sous tension. Une situation qui risque de davantage se compliquer par l’annonce probable d’une hausse des stocks américains. Contre toute attente le baril de Brent a eu un sursaut inattendu. Il affichait 62,20 dollars vers 16h00 heure algérienne ce qui représente un gain de 14 cents. 

De Quoi j'me Mêle

Placeholder

Découvrez toutes les anciennes éditions de votre journal préféré