{{ temperature }}° C / {{ description }}

Cité introuvable.

Crise politique

Le MSP campe sur sa position

Dans un communiqué rendu public, le bureau national du MSP est revenu sur les développements de la scène politique, indiquant que «la manifestation du vendredi 1er novembre dénote que la conscience des Algériens n’a pas été affectée par les multiples tentatives de récupération, et maintient les revendications évoquées depuis le début du Hirak. Ce qui atteste que ce dernier demeure la garantie essentielle pour le changement exprimé par le peuple».
Dans ce sens, le même document, fait état de la déception du MSP, quant aux promesses non tenues, en matière de satisfaction des revendications du Hirak, et ce, malgré l’ampleur des marches de chaque vendredi, et du refus de la situation politique actuelle.
Par ailleurs, le MSP considère que «le processus électoral ne cesse de se détériorer, montrant que le système travaille à son renouvellement et continue à utiliser les mêmes pratiques, outils et figures. Ce qui a vu sérieusement l’espoir véhiculé par le Hirak s’estomper de jour en jour, poussant l’étranglement politique à s’étendre sur tous les secteurs». De plus, le MSP a tenu à «prévenir contre l’idée d’imposer ces élections aux Algériens, du fait que cela pourrait avoir un effet hautement négatif sur la stabilité du pays, et sur les chances de relancer l’économie et le développement du pays, et peut le propulser dans des spirales dangereuses».
Enfin, dans le même document, le MSP considère que «l’utilisation de la violence conte les magistrats, est un antécédent dangereux qui dénote un penchant vers la répression et met ceux qui étaient à l’origine de cette dérive au rang des irresponsables», précisant que «ce qui s’est passé doit être une leçon pour le secteur de la justice et pour tous les secteurs, et ne peut, atterrir, tôt au tard, qu’à une atmosphère de répression»

De Quoi j'me Mêle

Placeholder

Découvrez toutes les anciennes éditions de votre journal préféré