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Le Premier ministre multiplie les appels au renforcement du front interne

Le scénario du complot se précise

Abdelaziz Djerad a décidé de contrer les velléités des ennemis de l'Algérie. Il compte pour cela sur la meilleure «arme» dont nous disposons, à savoir la mobilisation populaire...

Octobre 1962 et le fameux «Hagrouna» de Ben Bella... Beaucoup d'eau a coulé sous les ponts. À cette époque, l'Algérie était une jeune nation qui venait tout juste de conquérir son indépendance. Ce n'est plus le cas aujourd'hui avec une armée forte qui est classée 23e mondiale et première de la région. Mais face à tout ce danger, peuple et gouvernants doivent s'unir pour relever ce défi. C'est la le grand message que s'attelle à envoyer le Premier ministre, Abdelaziz Djerad. Il l'a fait! Il a insisté. Comme lors de la guerre des Sables en 1962, le chef de l'Exécutif fait recourt à la meilleure «arme» dont nous disposons, à savoir la mobilisation populaire. Ainsi, depuis une semaine, le chef de l'Exécutif multiplie les appels au renforcement du front interne.
Mardi dernier, il a profité du lancement de l'année universitaire, à partir de la wilaya de M'sila, pour renouveler ce message de rassemblement au peuple algérien. «Il est important de renforcer le front interne, pour barrer la route à tous ceux qui complotent contre le pays», a-t-il insisté lors de son passage sur les ondes de la radio locale de M'sila. Djerad a mis l'accent sur la nécessité de tenir compte de la dimension géopolitique de notre pays. «L'espace maghrébin représente désormais, pour certaines puissances, un terrain pour y fomenter des problèmes», a souligné le Premier ministre.
«L'Afrique souffre de plusieurs problèmes, tels que la pauvreté, le trafic de stupéfiants et les crises économiques, d'où l'impératif pour nous de renforcer notre front interne», a-t-il insisté. «C'est le seul moyen de préserver la stabilité et la cohésion sociale», a-t-il ajouté demandant à tous de mettre de côté les différentes appartenances politiques. Abdelaziz Djerad n'a pas hésité à faire le parallèle avec la décennie noire en rappelant les étapes difficiles que le pays a vécues durant cette période. Avant le Premier ministre, c'est le Haut Commandement de l'Armée nationale populaire qui avait averti sur les dangers qui guettent le pays. Il avait aussi appelé à une mobilisation nationale pour couper l'herbe sous les pieds des ennemis du pays.
Surtout que le complot se précise de jour en jour. Effectivement, depuis, l'annonce de la normalisation des relations entre le voisin marocain et l'entité sioniste, les menaces contre l'Algérie s'affichent au grand jour! Les masques sont tombés!
Les sionistes sont désormais à nos frontières. Ils ont franchi une nouvelle étape dans l'application de leur plan machiavélique contre notre pays. Il reste l'un des seuls de la région Mena à refuser de pactiser avec le...diable! L'Algérie a toujours été visée par les acteurs de l'impérialisme, toutefois, avec les changements géopolitiques actuels, la menace est immédiate. On comprend mieux pourquoi le gouvernement avait crié au complot lors de la succession de graves évènements qui avaient touché le pays au début de l'été dernier, notamment à la veille de l'Aïd el Adha.
Le chef de l'État, Abdelmadjid Tebboune, avait surpris tout le monde en dénonçant une «machination» pour déstabiliser le pays. On pensait à un «jeu politique» du président, mais le temps lui a donné raison. La création de troubles sociaux est la stratégie des sionistes et leurs alliés pour «miner» les pays qui leur résistent encore. Tebboune, qui avait sûrement des rapports des services secrets et de sécurité sous les yeux, savait ce qui se «tramait» de l'autre côté de nos frontières. Il y a certainement eu d'autres «menaces» du même genre qui ont été déjouées par nos services de sécurité. Il ne s'agit pas d'un jeu, mais de risques réels sur la stabilité du pays. Mais que l'on se rassure, l'Algérie saura y faire face. Comme l'a bien rappelé le président Tebboune lors de son dernier message: on est immunisé, l'Algérie n'est pas une proie facile. L'on ne saurait la déstabiliser facilement...

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