{{ temperature }}° C / {{ description }}

Cité introuvable.

On se prépare pour le référendum

Les médias audiovisuels, l'affichage, les moyens écrits ou électroniques, sont soumis à une habilitation préalable de l'Anie.

À quelques jours du début de la campagne électorale pour le référendum sur la révision de la Constitution, fixé au 7 octobre, l'aiguillage réglementaire mis en place par l'Autorité nationale indépendante des élections, pour encadrer cette campagne, s'articule autour des parties qui seront au-devant de la scène, pour exposer leurs positions et leurs argumentaires aux citoyens. Dans ce sens, le communiqué de l'Anie, fait savoir, que la campagne électorale qui s'étalera du 7 au 28 octobre, verra défiler sur les supports médiatiques «le staff gouvernemental qui doit transmettre le programme de la campagne électorale au président de l'Anie, les partis politiques disposant d'un groupe parlementaire au niveau des deux chambres du Parlement ou de 10 sièges entre les deux chambres du Parlement ou des sièges au sein des Assemblées populaire locales dans au moins 25 wilayas, les associations nationales jouissant d'une représentation effective au moins au niveau de 25 wilayas, et les personnalités politiques».
Par ailleurs, dans le but de conférer à cette campagne, toute la transparence attendue, l'association des deux organismes de contrôle, a été nécessaire pour déterminer minutieusement les règles à observer, expliquant que «les partis politiques et les associations nationales doivent présenter à l'Anie une demande étayée de documents justificatifs et d'un résumé sur les axes d'intervention et ce dans un délai de 5 jours au moins avant le lancement de la campagne électorale.
L'Anie procédera en coordination avec l'Arav à la définition du temps de parole réservé aux intervenants dans les médias audiovisuels publics». Des précisions de taille, du fait qu'ils interviennent dans le sens de la mise en place d'outils de respect de l‘éthique et de la culture électorale, qui seront les premières graines pour la construction d'une Algérie nouvelle, loin des pratiques électorales anciennes où tous les coups étaient permis et où la loi du plus fort (financièrement), était le seul principe respecté.
C'est dans cette optique que l'Anie oeuvre à acter un changement à même d'être perceptible par les citoyens, durant le referendum. Pour ce faire, un encadrement de près et un suivi des opérations sont assurés par l'Anie qui précise que «la campagne électorale peut-être menée dans le cadre de la consultation référendaire sur la révision constitutionnelle par voie d'affichage, de distribution de dépliants, de correspondances et de tous les moyens écrits ou électroniques.
Les espaces réservés à la publicité sont définis par arrêté du coordinateur du délégué de wilaya de l'Anie, tandis qu'à l'étranger, l'affichage se fait aux sièges des représentations diplomatiques et consulaires». Il va sans dire, que durant ces 21 jours de campagne, les avis, les positions et les convictions des Algériens vont s'entrechoquer dans une grande effervescence pour laquelle l'Anie prévoit des mesures qui exhortent les intervenants à respecter la réglementation en vigueur, précisant que «les médias audiovisuels ou par affichage, les moyens écrits ou électroniques sont soumis à une habilitation préalable de l'Anie étant chargée exclusivement de la préparation, l'organisation, la gestion et la supervision des élections et des référendums». il va sans dire, qu'à travers ces encadrements, l'Anie met au grand jour le fonctionnement et les priorités réservés à la campagne électorale, en vue d'apporter à tous les intervenants la possibilité de connaître et de se préparer à toutes les dispositions qui feront de cette campagne et du référendum du 1er novembre, l'aboutissement d'une lutte pour la liberté et la démocratie, tant attendu par le peuple.

De Quoi j'me Mêle

Placeholder

Découvrez toutes les anciennes éditions de votre journal préféré