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Coopération algéro-américaine

Pour des partenariats «win-win»

Les opérateurs économiques américains sont au fait des avantages offerts par le marché algérien, ce qui constitue une véritable opportunité afin d'établir des partenariats actifs à l'avenir.

L'économie est la base de tout partenariat. Qualifiant les relations algéro-américaines dans le domaine économique de «fructueuses de part et d'autre», David Schenker a affirmé que la nouvelle administration élue sous la direction de Joe Biden maintiendra «la même approche», à la faveur des changements survenus au niveau des lois économiques en Algérie pour attirer davantage l'investissement étranger. «Nous oeuvrons aujourd'hui à aller de l'avant pour renforcer l'investissement américain direct en Algérie», a-t-il appuyé, tant l'Algérie dispose de potentialités pour jouer «un rôle important» en la matière tant en Afrique qu'en Europe, un critère essentiel que les Etats-Unis tiennent en ligne de compte.
Mettant en avant l'importance du partenariat avec notre pays, David Schenker a rappelé la présence de nombreuses entreprises américaines en Algérie dans l'industrie pharmaceutique, l'énergie, l'éducation, la culture et les arts, en sus de nombreux autres domaines. Concernant les nouvelles perspectives de coopération, le ministre des Finances, Aymen Benabderrahmane, a fait part, à ce sujet, à l'invité de l'Algérie, des principaux éléments de la politique économique engagée par le gouvernement algérien en vue d'assurer l'équilibre et la viabilité du cadre macro-économique global du pays. Dans la foulée, le ministre des Finances a exprimé le souhait de voir les entreprises américaines «s'installer davantage en Algérie», notamment dans «les secteurs productifs», pour contribuer à mettre en valeur ses potentialités et à la diversification de son économie. Un appel réitéré par le ministre du Commerce, Kamel Rezig, à même d'augmenter le volume des échanges avec les USA et de lancer des partenariats gagnant-gagnant dans divers domaines, à la faveur des réformes opérées par l'Algérie pour la relance de son économie, à travers la suppression de la règle du 49/51 pour les secteurs non stratégiques, en sus de l'amélioration de son climat d'affaires pour attirer davantage de partenaires étrangers.
À cette occasion, Kamel Rezig a émis le souhait de voir le Conseil d'affaires algéro-américain réactivé pour orienter et encadrer les investisseurs des deux pays en matière de lois et de critères du commerce, l'investissement et la concertation. Une réactivation qui permettra, selon le ministre délégué auprès du ministre du Commerce chargé du Commerce extérieur, Aissa Bekkai, de propulser les relations algéro-américaines sur le plan commercial, notamment en période post-Covid et après activation de l'accord sur la zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf).

Les USA invités d’honneur de la FIA
Le sous-secrétaire d’Etat adjoint en charge des questions du Proche-Orient au département d’Etat américain a annoncé que son pays participera en tant qu’invité d’honneur à la Foire internationale d’Alger, considérée comme l’une des plus grandes manifestations économiques du continent africain, prévue cette année, où les entreprises américaines exploreront des partenariats gagnant-gagnant avec leurs homologues algériens.

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