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L’autre « pandémie » des accidents de la route

Un Algérien meurt chaque heure

Les accidents de la circulation déplorés tout au long de l’année, sur nos routes, se disputent-ils le nombre de décès avec ceux enregistrés par la pandémie du Covid- 19 ? 4 000 morts, 140000 blessés chaque année. C’est horrible. C’est le moins que l’on puisse dire. En fait, l’on enregistre un décès par heure et un blessé toutes les 10 à 15 minutes ! Où allons-nous donc avec un parc automobile pourtant relativement réduit ? Selon le ministère de la Santé, il est établi que l’Algérie occupe le rang peu enviable de 4e sur la place mondiale, en termes de morts dus aux accidents routiers, citant des chiffres s’appuyant sur les statistiques de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). La multiplication effrénée des accidents mortels semble hélas concurrencer le nombre de décès dus à la pandémie du Covid-19 de par leur taux toujours croissant et souvent accompagnés de blessés handicapés « à vie » dont les soins seront pris en charge par l’Etat, sans compter la non-rentabilité d’un grand nombre d’individus devenus ainsi des êtres improductifs et assistés à demeure. La facture est fort douloureuse, à ne point en douter. En effet, la prise en charge de ces accidentés, à vie, revient à plusieurs milliards de dinars pour les caisses de l’Etat. Les accidents de la circulation routière se sont accrus de manière inquiétante, depuis la possibilité d’accès des jeunes à des crédits bancaires pour l’acquisition de véhicules de transport de voyageurs. Ces jeunes, qualifiés à cette procédure, devraient être tenus, par les pourvoyeurs de fonds, d’investir dans un véhicule neuf, auprès d’une entreprise algérienne.

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