{{ temperature }}° C / {{ description }}

Cité introuvable.

Ils ont misé sur la date du 5 octobre pour manifester dans la capitale

Une nébuleuse aux abois

Les desseins desdites forces à la solde des officines étrangères et à l’agenda savamment entretenu par des puissances étrangères, ont encore une fois été réduits à leur juste fantasme en rupture totale avec le réel.

Les nébuleuses dans toutes leurs ramifications voulaient faire du 5 octobre un événement propice pour jouer sur la fibre sensible des Algériens et des Algériennes afin de «sensibiliser» la nécessité de sortir manifester et à redonner au Mouvement populaire sa «force», qui connaît selon eux, un ramollissement depuis l'apparition de la pandémie de Covid-19 et ses conséquences sur la santé publique.
Ces nébuleuses savent que la mobilisation a perdu de sa «brillance» et de sa «force» non pas en raison du contexte qui ne se prête pas à ce genre de démarches de mobilisation uniquement, mais bel et bien au natif des divisions et tiraillements qui frappent de plein fouet lesdites nébuleuses et la guéguerre qui s'empare davantage de leurs structures et organisations.
La diaspora est le reflet tangible et concret de la dislocation de l'«unité» du «Hirak» que certaines organisations rejettent, y compris cette appellation en voulant la substituer par l'intitulé de la «révolution». Cette division est fondée sur les approches disparates et dichotomiques que véhiculent lesdites nébuleuses qui oscillent entre islamistes de Rachad, et partisans de la «double rupture dont la guerre est déclarée sans ambages et sans relâche entre les deux composantes qui constituent le spectre apparent de la diaspora dans l'ensemble.
Le fiasco qui caractérise ces nébuleuses à l'étranger est plus que palpable, c'est ce qui a fait que certaines d'entre elles veulent «exporter» leur échec à l' «intérieur» du pays comme signe du maintien et de la prépondérance du Mouvement populaire. Pour détourner l'attention sur la crise profonde qui frappe le «Hirak» de la diaspora, les islamistes du Rachad et leurs alliés de «qui-tue-qui» ont essayé de «réhabiliter» le Mouvement populaire en Algérie en pleine pandémie de coronavirus. Ils ont profité des jours phares en terme de mobilisation pour inciter les citoyens à sortir en masse dans les rues de la capitale comme signe de retour du «Hirak» et une manière pour eux de répondre à leurs rivaux au sein de la diaspora que le slogan «rassembleur» de l'«Etat civil et non militaire» est le plus porteur et que la démarche des autres vise à diviser les Algériens puisque elle exige aussi le rejet d'un «Etat islamiste».
Le 5 octobre était aussi le moyen pour ces nébuleuses de manipuler et de le faire sortir de son contexte historique et l'imbiber dans le sillage idéologique qui correspond aux jeux et desseins de chaque variante visant l'hégémonie et la mainmise sur le Mouvement populaire. Depuis maintenant plusieurs mois, les appels se succèdent pour sortir manifester, mais cela n'a pas eu l'écho escompté par le peuple algérien qui suit avec intérêt les divisions de ces nébuleuses, mais aussi il se rend compte que les représentants de ces forces occultes sont installés à l'étranger et se mettent derrière leurs écrans pour inciter les citoyens à sortir occuper la rue.
Les desseins desdites forces à la solde des officines étrangères et à l'agenda savamment entretenu par des puissances étrangères, ont encore une fois été réduits à leur juste fantasme en rupture totale avec le réel.
La journée du 5 octobre a été caractérisée par une activité ordinaire et la capitale n'a connu aucune situation de ce genre, c'est-à-dire des manifestations ou des rassemblements en masse. C'est dire que la bérézina est saillante et que l'échec est cuisant. Les nébuleuses qui sont actionnées de l'étranger par leurs mentors ne savent pas que l'élan populaire du 22 février 2019 était l'oeuvre des Algériens et des Algériennes grâce à leur instinct populaire qui s'est soulevé contre l'humiliation, le ras-le-bol et la mainmise de l'oligarchie qui voulait imposer la mascarade du cinquième mandat de trop.
Les Algériens et les Algériennes n'ont pas attendu les nébuleuses à la solde des «régime change» de la Ned et Canvas et autres officines pour s'exprimer et se mobiliser contre l'ancien régime. C'est cette démarche que les nébuleuses, qui activent à l'étranger ne veulent pas comprendre, admettre, voire reconnaître. C'est une démarche intrinsèque propre aux Algériens et aux Algériennes libres de leur approche et aussi de leur changement qu'ils veulent algéro-algériens et non pas l'oeuvre des forces occultes à la solde de l'étranger. On ne se dissimule pas durant des mois au sein d'un Mouvement populaire pour le faire détourner de sa trajectoire sans que cela ne produise des réactions et des situations dont surtout la mainmise et l'hégémonie telle une épée de Damoclès sur la tête des Algériens et des Algériennes.
C'est l'aboutissement logique d'une oeuvre manipulatrice et sordide de ces nébuleuses en déphasage avec la réalité algérienne et la mentalité des Algériens dans l'ensemble.

De Quoi j'me Mêle

Placeholder

Découvrez toutes les anciennes éditions de votre journal préféré

Les + Populaires

(*) Période 7 derniers jours