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Annaba

Divergences d’avis chez les candidats

Sujets abordables, de l’avis de certains et relativement difficiles pour d’autres.

Plus de 13 000 élèves ont débuté, hier, les épreuves du baccalauréat sous haute surveillance. Les candidats à cet examen vont passer deux matières par jour en fonction de leur spécialité. Le premier jour a débuté avec l’épreuve d’arabe et de sciences islamiques pour toutes les filières.
Pour s’enquérir de l’état d’esprit dans lequel s’est déroulé cet examen, nous avons fait une virée dans certains centres à Annaba. Un important dispositif sécuritaire était positionné devant les centres d’examen. Tôt le matin, à l’entrée du lycée Moubarak
El Mili, où, une centaine de lycéens et lycéennes discutaient entre eux, ou cahier à la main, tentaient de réviser. Ceux qui avaient accédé à l’intérieur ont déposé leurs sacs et smartphones à l’entrée.
D’autres venaient d’arriver, on pouvait lire sur leur visage, anxiété, stress et manque de sommeil. 8h 30 le portail de ce centre d’examen se ferme. C’est le calme plat, les sujets distribués, les candidats ont aussitôt planché pour donner les meilleures réponses. A la sortie, les avis étaient partagés. Certains ont soutenu que c’était «abordable» et espèrent s’en sortir du mieux que possible.
D’autres ont estimé, par contre, que c’était un «peu difficile». «C’est selon la préparation de chaque élève», nous dira Amira, candidate en filière lettres, rencontrée à la sortie du centre d’examen. Elle a affirmé qu’elle a bien travaillé. «Pourvu que ça dure», lance-t-elle avec un brin optimiste. Selon elle, «ce n’est que le début, en attendant les autres matières».
La plupart des candidats n’ont pas trouvé les sujets compliqués. Ils étaient en rapport avec le programme. «J’ai trouvé le sujet de l’arabe facile», nous dira un élève. «C’est de bon augure pour la suite», ajoute-t-il.
Les candidats au baccalauréat peuvent, néanmoins, compter sur le soutien moral de leurs parents. «Il s’agit d’un examen comme tous les autres. Il ne faut pas stresser», a estimé son camarade qui, selon lui, il faut éviter de tomber dans le piège de la peur et l’angoisse.

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